Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/08/04/0142002

Café de A3mmi Djaffar (ex-café du roulage ) se trouve à l'angle route de Boudouaou donnant face au jardin du centre ville, je me souviens souviens !!!

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La célèbre cigogne de Réghaia, elle ne quitte jamais sa ville, elle revient chaque année à ce même minaret.

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Un grand merci à Nasro de Rouiba pour les trois  photos de notre cher ville Réghaia.

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Donné partant pour le MSPB, qui lui a fait une offre alléchante, Klehnmer, le milieu tournant du NARBR, a fini par répondre à l’appel du cœur et décide de renouveler son bail pour la sixième année consécutive à Réghaïa.

Pourtant, rien ne présageait une telle issue quand on sait qu’il avait pris la décision d’aller monnayer son talent ailleurs.

D’ailleurs, l’opportunité batnéenne faisait son affaire puisque toutes ses conditions ont été acceptées par les dirigeants des Aurès.

Mais il fallait compter sans la volonté de Mesrour qui voulait à tout prix garder l’un de ses meilleurs éléments pour ne pas démembrer la formation réghaouie.

C’est pour cela qu’il l’a invité à la table des négociations dimanche dernier.

Le président des Noir et Blanc a répondu favorablement aux exigences du joueur qui a demandé à ce qu’on lui avance une partie de la prime de signature dans les plus brefs délais et qu’on lui remette un chèque de garantie représentant le montant de ses arriérés.

Azzouz effectue son retour
Les supporters réghaouis ont été agréablement surpris de voir enfin Azzouz pointer son nez après une escapade de cinq mois.

Le Naïli a donc répondu à l’appel pressant de ses dirigeants qui voulaient à tout prix l’avoir dans leur effectif la saison prochaine.

Même s’il n’a pas encore signé son contrat, il n’en demeure pas moins qu’il a trouvé un terrain d’entente avec ses employeurs qui ont la ferme intention d’oublier tout ce qu’il leur a fait endurer.

Zazoua dans  ses petits souliers
Zazoua, qu’on annonçait tantôt à Bordj Bou Arréridj, tantôt à Tlemcen et tantôt à la JSMB, a fini par opter dimanche matin pour Réghaïa.

Parti en fin de saison avec la ferme intention de ne plus revenir, le jeune Tlemcénien n’a pas pu négocier à son avantage les différents contacts.

Il dit avoir buté sur le problème de la lettre de libération que les dirigeants réghaouis ne voulaient pas lui délivrer sans contrepartie. N’ayant pas réussi à la racheter, il se voit contraint de terminer les deux années qui lui restent à honorer.

Son retour cependant a mis du baume au cœur des supporters qui voyaient du mauvais œil le départ de celui qui enflammait les gradins du stade Bouraâda par ses prouesses techniques et son excellente vision du jeu.

Mesrour, pour lui remonter le moral, car Zazoua voulait à tout prix évoluer dans une équipe de l’élite, lui a promis de le libérer au prochain mercato pour peu que le club trouve son compte, comme il l’a fait avec Rial et Melika dernièrement.

A Zazoua donc de se donner à fond et faire en sorte de ne pas rater la préparation d’intersaison pour être d’aplomb au début du championnat.

Par : A. Ahnia

Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/08/01/2038382

Ayant fait partie de la cuvée qui a réalisé l’accession en Super D2, Chahara quittera Réghaïa sur un coup de tête suite à une incompatibilité d’humeur avec un proche du club.

Sollicité par le directoire, il n’hésitera pas un instant pour venir négocier sa prime de signature.

Désormais, il sera en concurrence avec Kebabi qu’il considère comme un grand frère au vu des liens amicaux qui lient les deux gardiens.

Qui de Abdouni ou Salhi sera retenu ?
Comme rapporté dans notre dernière édition, le NARBR devait recruter deux gardiens de but pour aiser le keeper déjà en place, Kebabi. Si pour Chahara le problème est réglé puisqu’il a signé officiellement, les deux autres postulants se trouvent en ballottage même si les dirigeants, en concertation avec Boussa, aimeraient retenir Salhi de l’USMH qui répond au profil recherché par les Réghaouis au détriment de Abdouni, semble-t-il, encore frêle.

Mais le problème qui se pose, c’est que le premier n’a pas encore trouvé un terrain d’entente avec les responsables réghaouis qui trouvent ses exigences financières exagérées.

Mesrour, en homme avisé, semble confiant et estime qu’il pourra convaincre ce jeune keeper, dont on dit le plus grand bien, d’opter pour le NARBR.

Dans le cas où les négociations n’aboutiraient pas, Abdouni serait tout désigné pour être le troisième gardien.
A. A.

Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/07/28/6221843

Par : A. Ahnia   samedi 21 juillet 2007

Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/07/21/4855392

Situé à 30 km d’Alger, le lac de Reghaïa est devenu un lieu privilégié pour la détente.

Pour son immensité, sa beauté et son écosystème, il a été classé depuis juin 2003 sur la liste Ramsar des zones humides d’importance internationale.

Ouverte au public depuis une année, cette zone humide, considérée comme la dernière de la Mitidja, subit les assauts de la pollution de l’homme.

Le lac de Reghaïa attire de plus en plus de familles, surtout les week-ends.

En quête de calme et de repos, les visiteurs passent des journées entières sur cette zone humide où quelques commodités y sont installées.

Plusieurs bancs sont plantés en face du lac pour ceux qui veulent faire le vide.

Les amoureux de la nature peuvent même déjeuner dans une cafétéria aménagée sur place et qui donne une vue magnifique sur le lac ou tout simplement pique-niquer sur l’herbe.

Des tables et des chaises taillées à partir du bois des arbres sont étalées pour ceux qui veulent être en contact direct avec la nature.

Ici c’est le royaume du silence, des randonnées et de l’air frais.

Plus de 203 espèces de volatiles, dont des oiseaux migrateurs, nichent sur les berges et les environs du lac.

Parmi eux, 82 oiseaux d’eau dont 55 espèces protégées par la législation algérienne et 4 espèces rares à l’échelle internationale y fréquentent ce site.

Il s’agit de la poule sultane, du filugule nyroca, de l’érismature à tête blanche et de la sarcelle marbrée.

Sur l’eau, des colverts et autres canards barbotent en groupe on en en solitaire. Les yeux ne se lassent pas de ce tableau.

Une colonie de Goelands leucophée est établie durant toute l’année sur l’île Agueli.

Tout autour du lac, des maquis.

Ici vivent 20 sortes de mammifères dont le chacal, la genette, la mangouste, le sanglier, le rat rayé, le lièvre brun, le porc-épic et le renard.

Quant aux rosières d’eau qui entourent la retenue, elles sont peuplées par 9 espèces entre reptiles et amphibiens.

Dans ce lac il ne manque que…les poissons.

UNE EAU POLLUEE

A cela s’ajoute «le déversement des eaux d’une station d’épuration qui fait seulement le traitement mécanique mais non chimique et qui est située sur le versant sud», explique Abderahmane Taleb, directeur du centre de cynégétique de Reghaïa.

«D’ici la fin de 2007, le projet d’une station d’épuration biochimique sera opérationnel. Il permettra ainsi d’avoir une eau dépolluée», affirme-t-il.

La disparition des cyprinidés a commencé à partir de 1990.

Le bassin étouffé par les rejets domestiques en amont des oueds a, petit à petit, étouffé sous ’effet de cette pollution.

«Nous attendons la mise en service de la station d’épuration biochimique pour repeupler le lac de poissons et à cet effet nous sommes en train de discuter avec la direction de la pêche d’Alger», précise M. Taleb.

UN CENTRE D'EDUCATION ET DE SENSIBILISATION DES ENFANTS

L’endroit dédié exclusivement aux enfants a pour but de les mettre en contact direct avec la nature tout en leur donnant les informations nécessaires à travers des activités éducatives et pratiques.

Des salles d’exposition, de travaux pratiques des sciences naturelles, de conférence et de projection y sont installés pour permettre aux enfants qui viennent beaucoup plus pendant l’année scolaire, de découvrir la nature.

Faire du lac une réserve naturelle

Faire du lac une réserve naturelle est l’objectif que veut atteindre le centre de cynégétique de Reghaïa qui gère cette zone humide.

«Nous avons déposé un dossier au niveau du ministère de l’Environnement, où nous demandons de faire de cette zone humide, une réserve naturelle, et nous attendons toujours une réponse», affirme Abderahmane Taleb, directeur de ce centre, qui précise que ce site d’une superficie de 1500 hectares, dont 95 ha concernent le lac uniquement, a été à l’abandon avant 2000.

«C’est un complexe écosystème varié qui reflète l’ancienne Mitidja marécageuse», explique-t-il.

Pour ce responsable, la zone humide de Reghaïa a une importance écologique par rapport à la biodiversité des écosystèmes et une importance économique, dans la mesure où l’eau du lac est utilisée pour l’irrigation de 1200 ha de terres agricoles et lieu de pâturage limitrophes.

Pour M. Taleb, cette zone a également une importance scientifique, car de nombreux travaux universitaires ont été réalisés sur ce site par des inventaires de la faune et de la flore et une importance touristique dans la mesure où en moyenne 2000 personnes visitent chaque jour le lac de Reghaïa».

N. K.

Source:http://www.horizons-dz.com/rubriques/reportage.htm#1

Image du haut source :www.tourduvalat.org/nos_programmes/gestion_in....