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Super D2 ...NARBR 2 - CSC 1 : Réghaïa dans la douleur
10/11/2007 17:21
Par : A. Ahnia
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/11/10/5230795
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Stade Bouraâda - Réghaïa Affluence : nombreuse Arbitres : Abdelah, Touil, Senhadji Avertissement : Kebabi (69’) (NARBR) Buts : Sedrati I (csc 2’), Bouabdellah (76’) (NARBR), Farès El Aouni (16’) (CSC)
NARBR Kebabi, Khalfaoui, Bouabdellah, Azzouz, Slimanou, Mouaci, Zazoua, Medjahed (Klehnmer 64’), Meslem, Boustila (Merzougui 57’), Hadouche (Houti 83’). Entraîneur : Saâdoun
CSC Benmoussa (Toubal 30’), Meziani, Sedrati 1, Sedrati 2, Nasri, Griche, Djefel, Kara, Keraghel (Medjoudj 86’), Saïbi, Laouni (Zouaghi). Entraîneur : Mehimdat
Le match NARBR-CSC a donné lieu à des débats de haute facture. Il faut dire qu’avec des destins opposés, le NARBR jouant le tout pour le tout pour sortir de la zone rouge et le CSC qui veut à tout prix garder le contact avec le groupe qui mène le bal, les deux équipes n’avaient pas le droit à l’erreur. Et c’est dans cette logique que les deux formations entament le match sur les chapeaux de roue. En effet, deux minutes ne se sont pas écoulées que le coup de théâtre se produit quand sur un centre anodin dans un paquet de joueurs dans la surface de réparation constantinoise, Sedrati 1, pressé par son compère Boustila, mettra une tête qui trompera la vigilance de Benmoussa. Les Sanafir réagissent par Kara qui servira Farès El Aouni sur un plateau d’argent dont la reprise passera à quelques centimètres du montant gauche de Kebabi qui avait quand même suivi la trajectoire du ballon. Loin de se décourager, les Constantinois reprennent les choses en main et vont prendre la température de l’arrière-garde réghaouie qui se laisse gagner par la panique à chaque incursion dans ses dix-huit mètres. La défense du NARBR finira par commettre une bévue monumentale quand Saïbi, déporté sur la gauche, effectuera un très beau centre qui trouvera un Farès El Aouni étrangement seul et qui ne se fera pas prier pour crucifier Kebabi. Les hommes de Saâdoun tentent de reprendre du poil de la bête, mais ils buteront sur une défense constantinoise très bien articulée autour des deux Sedrati. Continuant son pressing, Réghaïa passera à deux doigts du second but par Meslem qui ratera son duel avec Toubal suite à une judicieuse balle en cloche de Khelfaoui (74’). La deuxième mi-temps reprend de plus belle avec un léger ascendant du NARBR qui tente de presser son adversaire pour le pousser à la faute, mais les Constantinois veillent au grain. C’est plutôt eux qui se créeront le plus d’occasions de scorer, en témoigne ce ballon de Zouaghi à deux doigts de tromper Kebabi sorti à sa rencontre. On notera, par ailleurs, ce joli coup franc de Hadouche dont la frappe enveloppée passera légèrement au-dessus de la barre transversale. Emportés par un public acquis à leur cause, les Réghaouis réussissent à désarçonner la défense clubiste à plusieurs reprises, mais n’arrivent à leur fin qu’à la 76’ quand Merzougui prend en défaut son vis-à-vis et de la gauche adresse un très joli centre que catapultera en pleine lucarne Bouabdellah embusqué dans les dix-huit yards constantinois. Piqués dans leur amour-propre, ces derniers reviennent dans le match et s’en vont titiller la défense réghaouie, mais trouveront en face d’eux un grand Kebabi qui plongera courageusement dans les pieds de Zouaghi et sauvera son équipe d’une égalisation certaine (88’). Le match en restera là, malgré le forcing des Constantinois qui tenteront l’impossible pour revenir au score. A. Ahnia
Quatre titulaires à part entière absents Le NARBR est en train de vivre des moments difficiles suite à la non-participation de certains de ses éléments clés. Contre le CSC, Saâdoun a eu les pires difficultés à trouver la composante qu’il faut pour affronter les rugueux Constantinois. Belahcène et Brakni, en rupture de ban avec l’équipe, même si le premier nommé invoque une blessure au genou, Ourahmane et Djelata ont été les grands absents de cette confrontation entre Réghaouis et Constantinois.
Un but valable refusé au NARBR On jouait la 71’ de jeu et alors que le NARBR dominait outrageusement son adversaire, Khalfaoui, après une envolée sur le côté gauche, adresse un joli centre dans un paquet de joueurs. Meslem surgit et met la balle au fond des filets du keeper du CSC. L’arbitre valide le but puis revient sur sa décision après que son assesseur eut levé le drapeau. La partie s’arrêtera pendant plus de six minutes où on assistera à des palabres interminables.
Sedrati 2 et Saïbi en arrivent aux mains Alors que les joueurs réghaouis entouraient les arbitres suite à une action litigieuse, Sedrati et Saïbi s’échangent des politesses et finiront même par en arriver aux mains. Il a fallu toute la sagesse de Griche et consorts pour qu’ils mesurent la gravité de leur acte et se séparent enfin. Ils furent d’ailleurs sévèrement sermonnés par leur coach qui leur donne rendez-vous à la fin du match. Selon un proche du club, ces deux joueurs passeront en conseil de discipline pour manquement à la discipline.
Kebabi dans tous ses états Connaissant Kebabi et son tempérament de gagneur, on n’a pas été surpris quand on l’a vu vociférer à l’endroit de ses coéquipiers durant tout le match pratiquement. Il est vrai que certains ont fait preuve d’un manque de volonté manifeste.
Benmoussa se blesse à la 30’ Benmoussa, le keeper du CSC, a dû quitter le terrain à la 30’ suite à un choc avec Boustila et un mauvais amorti de sa chute. La douleur au niveau de la hanche ne s’était pas estompée, même après les soins qu’on lui a prodigués. Il cédera sa place à Toubal.
Mehimdat s’en prend à certains joueurs à la fin du match La déception du coach constantinois était à son comble jeudi dernier. Très remonté contre ses poulains, le driver attendra la fin du match pour dire les quatre vérités à ses poulains qui l’ont énormément déçu. Il refusera de rentrer avec eux dans les vestiaires, mais à leur sortie, il leur fera de sévères reproches au su et au vu de tout le monde. A. Ahnia
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Photo : Arezki Ait-Ouahioune |
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Saâdoun (NARBR) «Mes joueurs sont à féliciter pour leur courage»
10/11/2007 17:11
«Nous avons certes peiné face à une équipe du CSC très expérimentée, mais nous sommes quand même arrivés à prendre le dessus. Il faut dire qu’aujourd’hui mes poulains ont fait preuve de beaucoup de volonté et de courage, je les félicite très sincèrement. Cette victoire leur permet de reprendre confiance après trois défaites consécutives. Il nous reste maintenant à travailler très sérieusement durant la semaine pour espérer négocier comme il se doit notre périlleux déplacement de jeudi prochain à Batna.»
Par : LE BUTEUR
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Reghaia Plage ...
09/11/2007 21:33
source : http://miss-diamantki.skyrock.com/article_569340990.html
Commentaire de Abderahmanne _Rennes (26/02/2008 13:10) :
Salam wa aalikoum , je vens de découvrir le site .
ca ma fait trés plaisir je te remercie beaucoup.
j'ai passer toutes mon enfance a Réghaia ,d'aileur ma famille est
toujour la bas "originaire de Réghaia depuis 1948"
je suis actuellement a Rennes "code 35"
et c'était le même code de Boumerdes dont réghaia fesait partie
A bientôt
envir-06@caramail.com |
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La joie de vaincre et de gagner chez les joueurs du NARBR.
06/11/2007 00:23
Source : http://elkhabar.com/images/key4press/reghaia_copy.jpg
Commentaire de Arezki de Montréal (09/11/2007 14:03) :
NARBR 2-1 CSC
Buts :
Naceri (2' c.s.c), Bouabdellah (75')
Laouni (16')......
Bravo !pour cette victoire du NARBR contre le CSConstantine ,ce jeudi 08
novemdre 2007,et bonne reussite pour le prochain match à Batna contre le
CAB.
Mes bonjours de Montréal à tous les supporters du NARBR et à tous les
habitants de Réghaia (Mafal ,Centre ville,Segna ,Dnc ,la cité brocard,
faoussi ,chebcheb ,Ouled-Hedadj,cenestal , el zerga ,cité la gare , les
iris ...etc)...vous me manquez tous.
http://reghaia.vip-blog.com a111@sympatico.ca |
Commentaire de M.H (29/05/2008 13:06) :
toi aussi tu nous manque ainsi que tout les reghaouis du monde
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On n'échappe pas à la mort. alors nourissons notre ame avant la grande rencontre.
05/11/2007 23:44
La mort, surtout quand on est jeune, nous vient rarement à l'esprit. Considérant la mort comme la fin, l'être humain évite d'y penser. Mais, tout comme la fuite physique devant la mort ne permet de lui échapper, il en est de même de la fuite par la pensée. En outre, il est impossible d'ignorer la mort. Chaque jour, les journaux font état de plusieurs décès, on croise fréquemment sur son chemin des cortèges funèbres, on passe devant des cimetières, on perd des amis et des membres de la famille. Les funérailles de nos proches ou les condoléances qu'on présente à ceux qui ont perdu des proches nous rappellent la mort. En étant témoin de la mort d'un être cher ou simplement d'une autre personne, on ne peut s'empêcher de penser à sa propre mort. Une telle pensée peut perturber profondément la personne concernée et la rendre agitée.
Qu'importe la force de caractère de la personne, qu'importe le lieu où elle se réfugie ou le moyen par lequel elle se protège, elle peut rencontrer sa mort à n'importe quel moment. Elle n'a pas le choix. Devant elle, il n'y a pas d'échappatoire. Le compte à rebours ne s'arrête jamais, même pour un petit instant. Quelle que soit la direction vers laquelle l'homme se tourne, la mort l'attend. Le cercle l'entoure de façon constante et finit toujours par se rassurer.
Dis: "La mort que vous fuyez va certes vous rencontrer. Ensuite vous serez ramenés à Celui qui connaît parfaitement le monde invisible et le monde visible et qui vous informera alors de ce que vous faisiez.” (Sourate al-Jumua: 8)
Où que vous soyez, la mort vous atteindra, fussiez-vous dans des tours imprenables… (Sourate an-Nisa: 78)
Pour ces raisons-là, nous devons arrêter de tricher avec nous-mêmes ou de jouer les indifférents, et nous efforcer de gagner la satisfaction de Dieu durant cette durée de vie qu'Il nous accorde. Dont Lui Seul connaît le terme. Notre prophète Mohammed (pbsl) nous a dit que l'un des moyens de se prémunir contre le durcissement du cœur et d'atteindre la piété est de se rappeler souvent de la mort.
Abdallah Ibn Umar rapporte que le Messager de Dieu (pbsl) a dit: "Vos cœurs deviennent rouillés comme le fer touché par l'eau.” On lui demanda comment les nettoyer. Il répondit: "En se rappelant souvent de la mort et en récitant souvent le Coran.” (al-Tirmidhi, 673)
Dieu, Celui qui offre la vie à l'homme puis la reprend à l'échéance fixée, nous informe dans le Coran de la façon dont la mort frappe les hommes. Ainsi, nous pouvons apprendre du Coran comment la mort survient et ce que vit une personne agonisante.
Lorsque le souffle de la vie remonte à la gorge (d'un moribond), et qu'à ce moment-là vous regardez, et que Nous sommes plus proche de lui que vous [qui l'entourez] mais vous ne [le] voyez point. (Sourate al-Waqi'a: 83-85)
Contrairement à la mort de mécréants, la mort des croyants est bienheureuse.
Les anges viennent réclamer l'âme du juste, en disant: "… Paix sur vous! Entrez au paradis, pour ce que vous faisiez.” (Sourate an-Nahl: 32)
Le Coran nous donne une description détaillée des souffrances des mécréants quand leurs âmes sont recueillies par les anges de la mort, car ces derniers les traitent avec dureté:
Qu'adviendra-t-il d'eux quand les anges les achèveront, frappant leurs faces et leurs dos? Cela parce qu'ils ont suivi ce qui courrouce Allah, et qu'ils ont de la répulsion pour [ce qui attire] Son agrément. Il a donc rendu vaines leurs œuvres. (Sourate Muhammad: 27-28)
Dans le Coran, Dieu parle aussi "des affres de la mort” qui sont en fait le résultat de l'annonce faite au mort par les anges des tourments qui lui sont réservés:
... Si tu voyais les injustes lorsqu'ils seront dans les affres de la mort, et que les anges leur tendront les mains (disant): "Laissez sortir vos âmes. Aujourd'hui vous allez être récompensés par le châtiment de l'humiliation pour ce que vous disiez sur Allah d'autre que la vérité et parce que vous vous détourniez orgueilleusement des Ses enseignements.” (Sourate al-Anam: 93)
Si tu voyais, lorsque les anges arrachaient les âmes aux mécréants! Ils les frappaient sur leurs visages et leurs derrières, (en disant): "Goûtez au châtiment du feu. Cela (le châtiment), pour ce que vos mains ont accompli.” Et Allah n'est point injuste envers les esclaves. (Sourate al-Anfal: 50-51)
Ces versets sont clairs, l'agonie du mécréant est un moment de tourment. Alors que les gens autour de lui pensent assister à une mort paisible, l'agonisant vit un tourment spirituel et physique très douloureux. Les anges de la mort viennent prendre son âme en lui infligeant souffrance et humiliation. Dans le Coran, le détachement de l'âme du mécréant est décrit comme un arrachement brutal:
Par ceux qui arrachent violemment! (Sourate an-Naziate: 1)
La phase finale du recueillement de l'âme est décrite ainsi:
Mais non! Quand [l'âme] en arrive aux clavicules et qu'on dit: "Qui est exorciseur?” et qu'il [l'agonisant] est convaincu que c'est la séparation (la mort)… (Sourate al-Qiyamah: 26-28)
- La mort du croyant
Étant conscient du caractère inévitable de la mort, le croyant se prépare à sa rencontre tout au long de sa vie et jusqu'au moment de son heure. Les anges de la mort le saluent et lui annoncent la bonne nouvelle de son entrée au paradis. Les anges recueillent son âme avec douceur.Le croyant ressent le besoin de communiquer la bonne nouvelle à d'autres croyants encore vivants et de leur dire que la promesse de Dieu est vraie et qu'ils n'ont rien à craindre. Mais, il lui est interdit de faire cela.
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Il fait face à la mort qu'il a fuie tout au long de sa vie. Il souffre des affres de la mort durant son agonie. Les anges arrachent son âme en lui annonçant la triste nouvelle du châtiment dégradant qu'il va subir dans l'enfer éternel. Les anges de la mort lui fouettent le visage et le dos. Son âme est arrachée dans la douleur. Son âme est arrachée quand elle arrive à la gorge, et personne ne peut rien pour le mort. L'âme est arrachée dans la souffrance alors que la personne continue à nier la vérité. Au moment de la mort, aucune confession de foi ni manifestation de repentir n'est acceptée.
Il y a aussi des leçons à tirer de la mort du corps que tout le monde peut constater. La façon dont la mort clinique réduit l'être humain à l'état de cadavre inerte et insignifiant, permet aux vivants de découvrir plusieurs vérités importantes, d'où la nécessité de parler de la "mort clinique” et de la tombe.
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Stade Chahid Bouraada Boualem ( Reghaia)
02/11/2007 16:31
Photo prise par Arezki Ait-Ouahioune de la tribune du stade Chahid Bouraada Boualem à Réghaia lors du match du NARBR contre Drean (vendredi 19 octobre 2007).
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