Salah s’entraîne avec le NARBR.

Salah le défenseur du Widad de Boufarik s’entraîne depuis trois jours avec le NARBR, où il veut évoluer après avoir été contacté par les dirigeants du club réghaoui sur recommandations de Boussa l’entraîneur des gardiens.
Le recrutement éventuel de ce joueur aura pour avantage de donner plus d’assise à une défense qui a tendance à prendre l’eau de toutes parts, surtout à l’extérieur. Salah pourrait,  vu sa polyvalence, être utilisé dans l’axe central ou sur le flanc droit.

Lechlech dans le viseur
Les Réghaouis ont pris langue officiellement avec Lechlech l’attaquant du Widad de Boufarik. Les dirigeants du NARBR comptent mettre le paquet pour enrôler ce joueur, pour donner le tonus manquant à leur formation.
Le joueur, semble-t-il, est emballé par l’offre que lui a faite Belkacemi mais risque de buter sur l’intransigeance des Boufarikois à ne pas vouloir se séparer de l’un de leur meilleur élément. Toujours est-il, les Réghaouis ne semblent pas vouloir en démordre et comptent normalement relancer le Boufarikois dans le courant de la semaine.

Regroupement en vue
Belkacemi, de concert avec Mesrour et Saâdoun, envisage de programmer un regroupement d’une dizaine de jours dans un lieu qui reste à choisir pour permettre aux joueurs de retrouver leurs automatismes après être restés pratiquement inactifs pendant plus de vingt jours et aussi pour raviver la dynamique du groupe.

Saâdoun songe à opter pour le biquotidien
La période d’inactivité des joueurs due au bras de fer qui les a opposé à leurs responsables ne peut que laisser des séquelles sur le plan physique et la forme de chacun. C’est pour pallier ces impondérables que le coach compte programmer le biquotidien pour préparer le match prévu dans une quinzaine de jours face au MOC à Constantine dans le cadre de la première journée de la phase aller.
Les joueurs sont donc appelés à se sacrifier pour rattraper le temps perdu.
A. Ahnia

Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=08/01/02/4285382

             Klehnmer : «Notre revendication est juste»

Par : A. Ahnia

samedi 29 décembre 2007

• Le NARBR est en train de vivre des moments difficiles...
  Nous n’y sommes pour rien dans la crise actuelle. Les raisons, il faut aller les chercher ailleurs que chez les joueurs qui ne font que revendiquer leur droit. Il faut savoir que nous avons toujours été patients. Comme nous n’avons rien vu venir, nous avons décidé de faire valoir nos droits.
  Certains pensent que les dirigeants vont vous avoir à l’usure...
  Que les gens sachent d’abord que nous ne versons pas dans le chantage. Je vous surprendrai peut être en avançant qu’il n’y a aucun animosité entre les dirigeants et nous. Nous comprenons le fait qu’ils aient les mains liées mais nous ne pouvons et n’avons pas le droit de céder.
  Au risque d’envoyer votre équipe au purgatoire...
  Nous n’en sommes pas encore là. Si on règle notre problème, nous reperdrons pour être fin prêts pour la reprise. Il suffit de s’y mettre sérieusement.
  Votre optimisme est démesurée...
  Pas du tout. En nous les mettant au travail, nous œuvrons pour ramener des résultats de l’extérieur et gagner tous nos matches à domicile. Ça sera difficile, mais pas impossible. Pour cela, les dirigeants doivent mettre la pression sur le pourvoyeur de fonds du club pour régulariser dans les plus brefs délais les joueurs.
  Entretien réalisé par A. Ahnia

Medjahed envisage de raccrocher

Affecté après la débâcle face au PAC à domicile, Medjahed n’a pas compris l’acharnement de certains qui ne ratent pas l’occasion de le descendre en flammes. Il nous disait ce jour-là qu’il lui était difficile d’accepter les sautes d’honneur de ceux qui viennent au stade pour insulter et invectiver les joueurs dont le seul tort est d’essayer de donner le meilleur d’eux-mêmes dans des conditions très difficiles. Depuis, il s’est retiré et n’a plus donné signe de vie. D’après les échos qui nous sont parvenus de certains de ses coéquipiers, il semblerait qu’il ait pris la décision de mettre un terme à sa carrière. Si tel est les cas, le NARBR perdra un atout non négligeable à un moment où il a besoin de tous ses enfants pour sortir de l’impasse.

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                    Hommage à Bouletouak

De concert avec l’exécutif communal, l’ASC NARBR organisera le 1er janvier un tournoi en hommage à une figure footballistique de la ville qui a consacré toute sa carrière à la promotion du football dans la ville qui l’a vu naître. Bouletouak, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a été de tous les combats qui ont permis au NARBR de percer dans le giron du football national.

Programme :
14 h : vétérans NARBR-équipe de la presse
15 h : NARBR-CRB

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                                      Photo : Arezki Ait-Ouahioune

Mesrour a fait savoir aux membres de l’assemblée générale que la régularisation des joueurs coûtera cinq cents millions. Il reconnaîtra qu’il a été contraint il y a quelque temps de payer certains joueurs pour les retenir dans sa formation. Et c’est à cause de cela dirions-nous que les autres sont montés au créneau, car refusant ouvertement que le président fasse des différences entre les uns et les autres, surtout quand il s’agit d’argent. Il faut souligner que cette assemblée n’a duré qu’une bonne heure laissant beaucoup de gens sur leur faim, car n’ayant pas été vraiment instructive. A. Ahnia Ourahmane:«Mon destin n’est pas entre mes mains» Comme la plupart de vos coéquipiers, vous avez vous aussi pris la décision de faire l’impasse sur les entraînements. Pensez-vous avoir opté pour la bonne solution ? Tout le monde sait qu’une telle initiative est néfaste pour le club. Mais je trouve que c’est le seul moyen qui nous restait pour faire pression sur nos dirigeants qui se sont confinés dans une position qui ne nous arrangeait guère. Il  n’est pas facile pour quelqu’un d’accepter de jouer sans contrepartie, cela est inconcevable. Vous auriez dû attendre la fin de la phase aller pour faire des revendications... Je vais peut-être vous surprendre en vous disant que les joueurs ne se sont pas donné le mot pour arrêter, mais  c’est une décision individuelle unilatérale qui a germé dans la tête des joueurs, après la lourde défaite concédée à domicile face au Paradou. En agissant ainsi, vous mettez vos dirigeants au pied du mur... Je vous dis que ce n’était pas calculé d’avance, mais qu’au fond, le moment s’y prêtait, parce qu’on n’était qu’à un match de la fin de la phase aller. Donc les dirigeants avaient tout le loisir d’analyser la situation. Une rumeur circulant à Réghaïa fait état du renvoi de plusieurs joueurs... J’en ai entendu parler. Je comprends par là que vous voulez que je vous dise si je suis concerné ou pas. Eh bien, je n’en sais rien. En tous les cas, je suis à la disposition du staff technique. S’il a besoin de mes services, je reste. S’il pense que je ne suis d’aucune utilité, je me retirerai sans crier gare. Si tel était le cas, quelle serait votre destination ? Je suis encore lié par contrat avec Reghaia, donc je ne suis pas maître e mon destin. Mais j’ai plusieurs contacts que j’étudierai au moment voulu, si je suis mis sur la liste des libérés. Cela dit, tant qu’il n’y aura pas de nouveau de ce côté-ci, je vais donc me défoncer à l’entraînement pour être performant d’ici la reprise, pour aider le NARBR à sortir de la zone de turbulences. A. Ahnia Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/12/23/0321807

Et si cette autorité a donné un délai d’adaptation de 15 jours aux usagers, il n’en demeure pas moins que cette nouvelle formule est claire, simple d’utilisation et intelligible dans sa conception. En fait, c’est l’indication qui passe à 4 chiffres. Selon le conférencier, il suffit d’ajouter un chiffre derrière le 5 pour les usagers de Wataniya un 5 (05-5), un 6 (06-6) pour les usagers de Mobilis et le 7 (07-7) pour les usagers de Orascom Telecom Algérie. Quant aux numérotations VSAT et VOIP, elle sera en vigueur 15 jours après. Les usagers de ce mode de communication devront, en outre, ajouter un 9, à savoir VSAT (061-9) et VOIP (09-82). En ce qui concerne la nouvelle numérotation du téléphone fixe qui entre en vigueur à partir de 2009, l’ARPT dédie le chiffre 4 pour Algérie Télécom (exemple pour Alger 04-21) suivi du reste de l’indicatif). Idem pour le consortium Algérie des télécommunications (exemple pour Alger 04-17).
Cette nouvelle numérisation à 10 chiffres intervient après que l’ARPT eut lancé une consultation pour l’extension de son planning destiné à accueillir 900 millions de numéros de téléphone. Suite à quoi, le cabinet conseil Arcom a été sélectionné, en juillet 2006, pour le suivi de l’opération. En mai 2007, un comité de suivi, regroupant tous les représentants des opérateurs, a été également installé pour accompagner ce nouveau dispositif, avec une projection sur 50 ans, avec en appoint une disponibilité de ressources pour également développer plusieurs services comme le SMS et autres applications.
À l’heure actuelle, les experts de l’Arpt et le comité de suivi s’emploient et ce, jusqu’au mois de février 2008, à effectuer des tests d’interconnexion. Combien ça coûte : “Tout le monde a mis la main à la poche”, a rétorqué M. Belfodhil qui estime qu’une telle opération augure un développement certain pour le secteur des télécommunications dans le pays et participe, sans aucun doute, à parer contre la fracture numérique.

Par : Farid Belgacem

Source : http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=87693&titre=Ce%20qu’il%20fa

L'Aïd-El-Kebir, la fête du mouton !

La fête de l'Aïd Al-Kebir a lieu le 10 du mois Dhou-l-Hijja, le 12ème mois lunaire, qui est également le mois du pélerinage à la Mecque.

L'Aïd-El-Kebir, ou "grande fête", commémore l'histoire bien connue du sacrifice d'Abraham.

Cette histoire, que l'on trouve dans l'Ancien Testament, raconte que Dieu, pour éprouver la foi d'Abraham, lui demanda de sacrifier son jeune fils unique.

Abraham, la mort dans l'âme, allait obéir et égorger son fils, lorsque Dieu arrêta sa main et, pour le remercier de sa loyauté et de son obéissance, lui demanda de sacrifier plutôt un mouton à la place.

C'est donc en souvenir de ce sacrifice que les musulmans ont coutume d'égorger un mouton le jour de l'Aïd-El-Kebir.

En dehors de cette coutume, c'est également un jour de réjouissances où l'on festoie en famille.