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Algérie mon amour!
14/11/2009 01:11
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Ouled-Heddadj ...avant le match Egypte-Algérie...
08/11/2009 15:14
Commentaire de Faline (08/11/2009 19:03) :
Ton blog est toujours aussi génial, je vois et je revois avec plaisir
Bisous et bonne semaine
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ALLEZ LES VERTS!
01/10/2009 01:41
Commentaire de Arezki (01/10/2009 12:40) :
Ga3a Ma3ak yal khadra ...diri hala...Inchallah le billet du mondial contre
le Rwanda...
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Commentaire de Faline (05/10/2009 07:46) :
Kikouuuuuuuuu
C'est génial !! Wow allezzzzzzzzzzzzzzz !!
Continue et merci pour tes supers mots.
Bisousssssssssssss
http://faline.vip-blog.com
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Pourquoi lire le coran, alors qu'il nous arrive parfois d'ignorer le sens des versets?
15/04/2009 23:22
Voici la réponse que nous cherchons tous :
Un vieil homme musulman, vivait dans une ferme dans les montagnes de "Easter Kentucky" avec son petit fils. Chaque matin, son grand père se réveillait tôt pour lire son coran.
Son petit fils voulait être comme son grand père, et essaya de l'imiter dans tous ses gestes. Un jour, son petit fils, lui demanda : "Grand père! J'ai essayé de lire le coran comme toi, mais je n'arrive pas à comprendre le sens des versets, et lorsque je comprends parfois, j'oublie aussitôt que je ferme le livre. Qu'est ce qu'on retire de bien lorsque nous lisons le coran??
Le grand père silencieusement s'arrêta de mettre du charbon dans la corbeille et demanda à son petit fils : "Prends cette corbeille jusqu'à la rivière et ramène là moi remplie d'eau".
Le garçon fit comme son grand père lui demanda, mais la corbeille se vidait d'eau avant qu'il revienne à la maison.
Le grand père rit et dit : " tu devrais être plus rapide la prochaine fois", et il renvoya son petit fils avec la corbeille pour essayer une deuxième fois.. Cette fois-ci le jeune garçon courra, mais la corbeille se vida encore avant de retourner à la maison.
Essoufflé, il dit à son grand père qu'il était impossible de ramener de l'eau dans une corbeille, et qu'il allait prendre un seau à sa place. Le grand papa lui dit : " Je ne veux pas de l'eau dans un seau, mais dans une corbeille, c'est juste qu'il faut ressayer encore", et il parti retenter sa chance.
Le jeune garçon plongea encore la corbeille dans la rivière, couru, mais quand il arriva à la maison, la corbeille était encore vide. Essoufflé il dit à son grand père : " t'as vu grand père, c'est inutile!"
Le vieil homme, regarda son petit fils et lui dit : " Regardes la corbeille". Le jeune garçon regarda la corbeille et pour la première fois réalisa qu'elle était différente. Elle a été transformée d'une corbeille sale à une corbeille propre.
"Mon fils, c'est la même chose quand tu lis le coran. Il se peut que tu ne comprennes pas ou que tu ne te rappelles pas de tout, mais quand tu lis le coran, c'est ton âme qui change."
NB : Si tu sens que cet email vaut la peine d'être lu, alors transfères le à tes contacts.
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Grammaire amusante( vive les femmes!! :)ţ
15/03/2009 23:09
Grammaire amusante..... et vous avez la cuvette aussi........ hohohohoh .
Un homme :
' Voici UNE leçon de grammaire amusante
Pourquoi, dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au FÉMININ ?
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les FEMMES! Nous, les hommes, c'est LE soleil, LE beau temps, LE printemps, LE paradis! Vous, vous n'avez vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse
Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en écoutant LE hockey et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas semer LA discorde et LA chicane. Pour retrouver LE calme, je crois que nous devrions laisser LE genre décider. Vous pouvez regarder LA télé, mais nous choisissons LE poste. Même si LA télécommande vous appartient, nous avons LE contrôle. D'ailleurs dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE marre d'eau mais on dit UN fleuve, UN océan. On dit UNE trottinette mais UN avion à réaction! Et quand il y a UN problème dans UN avion, c'est tout de suite UNE catastrophe. C'est toujours la faute d'UNE erreur de pilotage, d'UNE panne d'essence, d'UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d'UNE connerie. Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable. Enfin, moi, si j'étais vous les FEMMES, je ferais UNE pétition. Et il faut faire très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour. Y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique FÉMININE. Ça ne nous a pas plu, nous les HOMMES, nous avons inventé LE logiciel. Mais vous avez quand même quelquefois des petits avantages: Nous avons LE mariage, LE divorce; vous avez LA pension, LA maison. Vous avez LA carte de crédit, nous avons LE découvert. '
Réponse d'une femme :
'Cher Monsieur, si vous aviez consulté une femme avant de publier votre fameuse leçon, vous auriez sans doute renoncé à le faire bien que marrante soit-elle! Mais quand même, voilà en retour la vraie leçon qui a dû vous échapper : Pourquoi à chaque fois qu'il y a une réussite, UNE victoire ou UNE gloire, il y a toujours UNE FEMME derrière ? Mais quand il y a UN drame, UN malheur, UN vol, UN viol et UN harcèlement sexuel, il y a UN HOMME derrière ?
Et voyons le masculin sur quelques plans :
Côté Météo :
LE mauvais temps, LE nuage, LE vent, L'orage, LE tonnerre, dans tout ça, LA visibilité n'a pas de place et booom, voilà UN accident! quel drame!
Côté santé :
Quel malheur quand l'humanité a connu : LE cancer, LE SIDA, LE SARSE.
Au féminin, ce n'est que LA grippe, LA fatigue, et ça passe!
Côté social:
C'est LE crédit, LE chômage, LE malaise, LE stress, LE crime, LE vol, LE viol, LE suicide, LE terrorisme, et voilà LE massacre !
Ceci a tué LA tranquillité, LA sérénité, LA stabilité, LA paix et LA sécurité !
Côté Amour :
Au masculin : c'est LE cœur en fer, LE coup de foudre, L'abandon et LE chagrin d'amour causé à LA femme !
Au féminin : c'est LA fidélité, LA sincérité, L'honnêteté, LA stabilité, LA vigilance, LA responsabilité et LA veille de LA préservation de LA vie conjugale.
Côté travail : au masculin c'est LE retard, LE laisser-aller, LE café, LE prétexte, L'égoïsme et ....!
LA femme c'est LA ponctualité, LA rentabilité, LA responsabilité et LA conscience professionnelle!
LA preuve c'est lors d'UNE réunion, on vous donne LA permission d'exprimer votre avis mais en conclusion, nous avons LA décision car on a LA bonne vision, LA précision et LA certitude !
Tout cela vous dérange et en fin de jour, vous attendez impatiemment LA nuit pour vivre LA relaxation et LA détente.
Enfin, cher Monsieur, comme vous l'avez dit dans votre leçon :
Nous avons LA logique! Oui nous l'avons toujours et avec fierté, et si vous avez inventé LE logiciel, malheureusement vous avez toujours LE virus en parallèle car vous n'avez pas bien étudié L'affaire!
Pour clore mon message qui n'est autre qu'une réaction au votre cher Monsieur:
Si vous les hommes désirez avoir un peu de privilèges que nous avons nous les femmes, alors c'est simple, on vous a accordé un terme pour l'utiliser :
Tout simplement ne dites pas : je suis UN homme..........
Mais dites plutôt : je suis UNE personne.......
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un sourire...
01/03/2009 01:10
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El Mawlid Ennabaoui Echarif (Mouloud)
23/02/2009 14:48
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C'est une fête religieuse, parmi les plus populaire en Algérie. On célèbre la naissance du Prophète Mohamed (SAAWS), qui coïncide au 12 Rabia al Awal, 3ème mois de l'année hégire (calendrier lunaire).
En Algérie, la veille du Mouloud (La naissance), les familles allument des bougies dans chaque pièce de la maison et on se retrouve au tour d'un plat tradionnel qui varie selon les régions du pays (Couscous, Chekhtchoukha, Rfis, Fermassa..).
Le Mouloud, c'est aussi la grande fête des enfants, toute au long de la soirée et même bien des soirées avant, on annonce cette fête par des pétards (Mharek), nouwalette et des feux d'artifices. C'est une incroyable ambiance festive.
Dans certaines régions du pays, la fêtes et collective avec des processions aux flambeaux comme à Constantine, ou un défilé d'embarcations ornées de lanternes colorées comme à Cherchell, ou des barouds comme dans la ville Beni Abbès qui draine des milliers de personnes du sud et du nord pour assister à cette fête religieuse.
On écoute aussi des madihs, et on se recueille pour la récitation des récits Coraniques dans les Mosquées ou Zaouiattes.
Pour l'année 2009, le Mawlid Ennabaoui sera fêté le 09 Mars 2009
Source : http://www.aldjazair.ch/index.php?option=com_content&task=view&id=66&Itemid=39
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Commentaire de Arezki (09/03/2009 02:49) :
Bonne fete du Mawlid Ennabaoui Echarrif-L Mouloud- a toutes et a tous!et
que chque an vous trouve sains et prosperes....Koulou a3m ouantoum Bekheir
inchAllah!
http://reghaia.mon-vip.com a111@sympatico.ca |
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Classes moyennes algériennes...
19/01/2009 03:42
L’angoisse et la déprime ...
Pas assez riches pour s’extraire des difficultés matérielles mais pas assez pauvres pour bénéficier des allocations et autres soutiens de l’Etat dévolus aux faibles revenus, les classes moyennes algériennes souffrent au quotidien et désespèrent pour leur avenir. Les appréhensions principales des classes moyennes sont le chômage, l’avenir de leurs enfants, la retraite et le logement. L’angoisse et la déprime sont également des sentiments partagés dès qu’on évoque l’érosion du pouvoir d’achat et la formation de haute qualité qu’elles souhaitent assurer à leur progéniture. La difficulté de maintenir le standing de vie dans une société est aussi souvent évoquée, notamment par les cadres des entreprises et administrations qui entrent, pour une grande part, dans la composition des classes moyennes algériennes.
Le rang social d’un cadre se mesurant souvent à l’acquisition d’équipements électroménagers, électroniques, multimédias et autres qui se renouvellent à grande vitesse, il n’est à l’évidence pas facile de maintenir le standing acquis avec les salaires pour le moins ridicules octroyés aux cadres algériens. Il est, à ce titre, bon de savoir qu’un ingénieur algérien débute sa carrière dans une entreprise publique, quand il a la chance d’y trouver un emploi, avec un salaire net d’à peine 16 000 DA qu’il ne doublera qu’au terme d’une vingtaine d’années de travail. Le désespoir est tel que les cris de révolte se font de plus en plus audibles, notamment ceux émanant des cadres qui affirment en avoir marre de subir sans pour autant avoir la certitude d’être payés en retour par une amélioration de leurs revenus et de leur qualité de vie.
Le sentiment d’une nécessaire bataille collective pour attirer l’attention de la société sur la dégradation des conditions de vie est aujourd’hui partagé par une large frange des classes moyennes, réputées pourtant pour leur pacifisme, voire leur docilité. Face à la dégradation des conditions de vie à laquelle les pouvoirs publics sont restés sourds, les classes moyennes ont effectivement le sentiment que si elles menaient une action collective, elles auraient davantage de chances d’imposer les mesures qu’elles attendent, notamment en matière de sécurité de l’emploi, de pouvoir d’achat et d’avenir éducatif pour leurs enfants. La dégradation du système éducatif algérien a érigé l’avenir des enfants au premier rang des préoccupations des classes moyennes, qui souhaitent donner à leur progéniture une éducation et une formation de qualité qui les feraient accéder à des emplois supérieurs bien rémunérés. Ils ne lésineront pas sur les moyens financiers en consacrant à l’éducation, souvent effectuée en dehors du système de formation étatique, une partie importante de leurs revenus. L’angoisse que leurs enfants finissent malgré tout au chômage les taraudera jusqu’au jour où ils les verront effectivement accéder à leur premier emploi. Même si elles ne le font pas en défilant dans les rues (l’état de siège l’interdit), les classes moyennes expriment leur révolte de diverses manières, parmi lesquelles on peut citer leur abstention de plus en plus massive aux divers scrutins, leur perte d’estime envers les autorités politiques et la tendance ouvertement déclarée par bon nombre de cadres à chercher à construire leur avenir et celui de leurs enfants à l’étranger.
Le sentiment de révolte est d’autant plus exacerbé que les classes moyennes constatent que depuis l’ouverture économique de 1988, les aides multiformes de l’Etat (filet social, aide frontale au logement, accès au logement social locatif, etc.) ne ciblent plus que les classes défavorisées, les classes moyennes étant invitées à se débrouiller, à prix coûtant, sur les marchés des biens et des services. Les populations ayant des revenus jugés faibles sont en effet éligibles au filet social et autres aides de l’Etat, tandis que celles qui disposent d’un salaire jugé élevé, selon des critères jamais rendus publics, en sont exclues. Ces dernières sont également exclues du bénéfice du logement social locatif, étant désormais contraintes d’y contribuer financièrement. C’est pourquoi les classes moyennes se plaignent d’être les grandes perdantes de cette ouverture qui n’a, en définitive, profité qu’aux plus riches et, dans une certaine mesure, aux couches pauvres qui ont pu bénéficier des diverses aides sociales. Les classes moyennes constituent pourtant la colonne vertébrale de la société. Ce sont elles qui encadrent l’économie, diffusent le savoir, le progrès technologique et la modernité en général, méritant, ne serait-ce qu’à ce titre, toute l’attention des dirigeants du pays. C’est ce que semble avoir bien compris le président américain nouvellement élu Barack Obama, qui a promis de faire de la restauration des classes moyennes fragilisées par la crise des subprimes un de ses premiers objectifs.
Nos gouvernants auront-ils la même clairvoyance ? Rien n’est moins sûr et à voir la manière brutale avec laquelle sont traités les syndicats autonomes qui portent leurs revendications légitimes (fonctionnaires, enseignants, médecins, hospitalo-universitaires, etc.), le renforcement des classes moyennes ne constitue pas, à l’évidence, une préoccupation pour les autorités en place qui donnent l’impression de n’avoir pas encore pris la mesure de l’ampleur des dégâts.
Par Nordine Grim
Source : http://www.elwatan.com/L-angoisse-et-la-deprime
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