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Réghaia (Alger)
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Réghaia (Alger)

VIP-Blog de reghaia
a111@sympatico.ca

  • 61 articles publiés dans cette catégorie
  • 414 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 15/10/2006 05:11
    Modifié : 14/02/2016 23:06

    (0 ans)
    Origine : Réghaia/Montréal
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    Grammaire amusante( vive les femmes!! :)þ

    15/03/2009 23:09

    Grammaire amusante( vive les femmes!! :)þ


    Grammaire amusante.....             et vous avez la cuvette aussi........  hohohohoh .

    Un homme : 

    ' Voici UNE leçon de grammaire amusante 

    Pourquoi, dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au FÉMININ ? 

    LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour vous les FEMMES! 
    Nous, les hommes, c'est LE soleil, LE beau temps, LE printemps, LE paradis! 
    Vous, vous n'avez vraiment pas de chance :
    LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse 

    Nous, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en écoutant LE hockey et ça pourrait être LE bonheur si vous ne veniez pas semer LA discorde et LA chicane. 
    Pour retrouver LE calme, je crois que nous devrions laisser LE genre décider. 
    Vous pouvez regarder LA télé, mais nous choisissons LE poste. Même si LA télécommande vous appartient, nous avons LE contrôle. 
    D'ailleurs dès que c'est sérieux, comme par hasard, c'est tout de suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE marre d'eau mais on dit UN fleuve, UN océan. 
    On dit UNE trottinette mais UN avion à réaction! Et quand il y a UN problème dans UN avion, c'est tout de suite UNE catastrophe. 
    C'est toujours la faute d'UNE erreur de pilotage, d'UNE panne d'essence, d'UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d'UNE connerie. 
    Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par UN homme ça ne s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable. 
    Enfin, moi, si j'étais vous les FEMMES, je ferais UNE pétition. Et il faut faire très vite parce que votre situation s'aggrave de jour en jour. 
    Y'a pas si longtemps, vous aviez LA logique, LA bonne vieille logique FÉMININE.
    Ça ne nous a pas plu, nous les HOMMES, nous avons inventé LE logiciel. 
    Mais vous avez quand même quelquefois des petits avantages: Nous avons LE mariage, LE divorce; vous avez LA pension, LA maison.  Vous avez LA carte de crédit, nous avons LE découvert. ' 

    Réponse d'une femme : 

    'Cher Monsieur, si vous aviez consulté une femme avant de publier votre fameuse leçon, vous auriez sans doute renoncé à le faire bien que marrante soit-elle! 
    Mais quand même, voilà en retour la vraie leçon qui a dû vous échapper : 
    Pourquoi à chaque fois qu'il y a une réussite, UNE victoire ou UNE gloire, il y a toujours UNE FEMME derrière ? 
    Mais quand il y a UN drame, UN malheur, UN vol, UN viol et UN harcèlement sexuel, il y a UN HOMME derrière ? 

    Et voyons le masculin sur quelques plans : 

    Côté Météo : 

    LE mauvais temps, LE nuage, LE vent, L'orage, LE tonnerre, dans tout ça, LA visibilité n'a pas de place et booom, voilà UN accident! quel drame! 

    Côté santé : 

    Quel malheur quand l'humanité a connu : LE cancer, LE SIDA, LE SARSE.


    Au féminin, ce n'est que LA grippe, LA fatigue, et ça passe! 

    Côté social: 

    C'est LE crédit, LE chômage, LE malaise, LE stress, LE crime, LE vol, LE viol, LE suicide, LE terrorisme, et voilà LE massacre ! 

     Ceci a tué LA tranquillité, LA sérénité, LA stabilité, LA
     
    paix et LA sécurité ! 

    Côté Amour : 

    Au masculin : c'est LE cœur en fer, LE coup de foudre, L'abandon et LE chagrin d'amour causé à LA femme ! 

    Au féminin : c'est LA fidélité, LA sincérité, L'honnêteté, LA stabilité, LA
     
    vigilance, LA responsabilité et LA veille de LA préservation de LA vie
    conjugale. 

    Côté travail : au masculin c'est LE retard, LE laisser-aller, LE café, LE
     
    prétexte, L'égoïsme et ....! 

    LA femme c'est LA ponctualité, LA rentabilité, LA responsabilité et LA
     
    conscience professionnelle! 

    LA preuve c'est lors d'UNE réunion, on vous donne LA permission d'exprimer votre avis mais en conclusion, nous avons LA décision car on a LA bonne vision, LA précision et LA certitude ! 

    Tout cela vous dérange et en fin de jour, vous attendez impatiemment LA nuit pour vivre LA relaxation et LA détente. 

    Enfin, cher Monsieur, comme vous l'avez dit dans votre leçon : 

    Nous avons LA logique! Oui nous l'avons toujours et avec fierté, et si vous avez inventé LE logiciel, malheureusement vous avez toujours LE virus en parallèle car vous n'avez pas bien étudié L'affaire! 

    Pour clore mon message qui n'est autre qu'une réaction au votre cher Monsieur: 

    Si vous les hommes désirez avoir un peu de privilèges que nous avons nous les femmes, alors c'est simple, on vous a accordé un terme pour l'utiliser : 

    Tout simplement ne dites pas : je suis UN homme.......... 

    Mais dites plutôt : je suis UNE personne.......





     

     

    un sourire...

    01/03/2009 01:10

    un sourire...






     

     

    El Mawlid Ennabaoui Echarif (Mouloud)

    23/02/2009 14:48

    El Mawlid Ennabaoui Echarif (Mouloud)


       
     

    C'est une fête religieuse, parmi les plus populaire en Algérie. On célèbre la naissance du Prophète Mohamed (SAAWS), qui coïncide au 12 Rabia al Awal, 3ème mois de l'année hégire (calendrier lunaire).  

    En Algérie, la veille du Mouloud (La naissance), les familles allument des bougies dans chaque pièce de la maison et on se retrouve au tour d'un plat tradionnel qui varie selon les régions du pays (Couscous, Chekhtchoukha, Rfis, Fermassa..).

    Le Mouloud, c'est aussi la grande fête des enfants, toute au long de la soirée et même bien des soirées avant, on annonce cette fête par des pétards (Mharek), nouwalette et des feux d'artifices. C'est une incroyable ambiance festive. 

    Dans certaines régions du pays, la fêtes et collective avec des processions aux flambeaux comme à Constantine, ou un défilé d'embarcations ornées de lanternes colorées comme à Cherchell, ou des barouds comme dans la ville Beni Abbès qui draine des milliers de personnes du sud et du nord pour assister à cette fête religieuse.

    On écoute aussi des madihs, et on se recueille pour la récitation des récits Coraniques dans les Mosquées ou Zaouiattes.

    Pour l'année 2009, le Mawlid Ennabaoui sera fêté le 09 Mars 2009   

    Source : http://www.aldjazair.ch/index.php?option=com_content&task=view&id=66&Itemid=39

     



    Commentaire de Arezki (09/03/2009 02:49) :

    Bonne fete du Mawlid Ennabaoui Echarrif-L Mouloud- a toutes et a tous!et que chque an vous trouve sains et prosperes....Koulou a3m ouantoum Bekheir inchAllah!

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    a111@sympatico.ca



     

     

    Classes moyennes algériennes...

    19/01/2009 03:42

    Classes moyennes algériennes...


    L’angoisse et la déprime ...
    Pas assez riches pour s’extraire des difficultés matérielles mais pas assez pauvres pour bénéficier des allocations et autres soutiens de l’Etat dévolus aux faibles revenus, les classes moyennes algériennes souffrent au quotidien et désespèrent pour leur avenir.
    Les appréhensions principales des classes moyennes sont le chômage, l’avenir de leurs enfants, la retraite et le logement. L’angoisse et la déprime sont également des sentiments partagés dès qu’on évoque l’érosion du pouvoir d’achat et la formation de haute qualité qu’elles souhaitent assurer à leur progéniture. La difficulté de maintenir le standing de vie dans une société est aussi souvent évoquée, notamment par les cadres des entreprises et administrations qui entrent, pour une grande part, dans la composition des classes moyennes algériennes.

    Le rang social d’un cadre se mesurant souvent à l’acquisition d’équipements électroménagers, électroniques, multimédias et autres qui se renouvellent à grande vitesse, il n’est à l’évidence pas facile de maintenir le standing acquis avec les salaires pour le moins ridicules octroyés aux cadres algériens. Il est, à ce titre, bon de savoir qu’un ingénieur algérien débute sa carrière dans une entreprise publique, quand il a la chance d’y trouver un emploi, avec un salaire net d’à peine 16 000 DA qu’il ne doublera qu’au terme d’une vingtaine d’années de travail. Le désespoir est tel que les cris de révolte se font de plus en plus audibles, notamment ceux émanant des cadres qui affirment en avoir marre de subir sans pour autant avoir la certitude d’être payés en retour par une amélioration de leurs revenus et de leur qualité de vie.

    Le sentiment d’une nécessaire bataille collective pour attirer l’attention de la société sur la dégradation des conditions de vie est aujourd’hui partagé par une large frange des classes moyennes, réputées pourtant pour leur pacifisme, voire leur docilité. Face à la dégradation des conditions de vie à laquelle les pouvoirs publics sont restés sourds, les classes moyennes ont effectivement le sentiment que si elles menaient une action collective, elles auraient davantage de chances d’imposer les mesures qu’elles attendent, notamment en matière de sécurité de l’emploi, de pouvoir d’achat et d’avenir éducatif pour leurs enfants. La dégradation du système éducatif algérien a érigé l’avenir des enfants au premier rang des préoccupations des classes moyennes, qui souhaitent donner à leur progéniture une éducation et une formation de qualité qui les feraient accéder à des emplois supérieurs bien rémunérés. Ils ne lésineront pas sur les moyens financiers en consacrant à l’éducation, souvent effectuée en dehors du système de formation étatique, une partie importante de leurs revenus. L’angoisse que leurs enfants finissent malgré tout au chômage les taraudera jusqu’au jour où ils les verront effectivement accéder à leur premier emploi. Même si elles ne le font pas en défilant dans les rues (l’état de siège l’interdit), les classes moyennes expriment leur révolte de diverses manières, parmi lesquelles on peut citer leur abstention de plus en plus massive aux divers scrutins, leur perte d’estime envers les autorités politiques et la tendance ouvertement déclarée par bon nombre de cadres à chercher à construire leur avenir et celui de leurs enfants à l’étranger.

    Le sentiment de révolte est d’autant plus exacerbé que les classes moyennes constatent que depuis l’ouverture économique de 1988, les aides multiformes de l’Etat (filet social, aide frontale au logement, accès au logement social locatif, etc.) ne ciblent plus que les classes défavorisées, les classes moyennes étant invitées à se débrouiller, à prix coûtant, sur les marchés des biens et des services. Les populations ayant des revenus jugés faibles sont en effet éligibles au filet social et autres aides de l’Etat, tandis que celles qui disposent d’un salaire jugé élevé, selon des critères jamais rendus publics, en sont exclues. Ces dernières sont également exclues du bénéfice du logement social locatif, étant désormais contraintes d’y contribuer financièrement. C’est pourquoi les classes moyennes se plaignent d’être les grandes perdantes de cette ouverture qui n’a, en définitive, profité qu’aux plus riches et, dans une certaine mesure, aux couches pauvres qui ont pu bénéficier des diverses aides sociales. Les classes moyennes constituent pourtant la colonne vertébrale de la société. Ce sont elles qui encadrent l’économie, diffusent le savoir, le progrès technologique et la modernité en général, méritant, ne serait-ce qu’à ce titre, toute l’attention des dirigeants du pays. C’est ce que semble avoir bien compris le président américain nouvellement élu Barack Obama, qui a promis de faire de la restauration des classes moyennes fragilisées par la crise des subprimes un de ses premiers objectifs.

    Nos gouvernants auront-ils la même clairvoyance ? Rien n’est moins sûr et à voir la manière brutale avec laquelle sont traités les syndicats autonomes qui portent leurs revendications légitimes (fonctionnaires, enseignants, médecins, hospitalo-universitaires, etc.), le renforcement des classes moyennes ne constitue pas, à l’évidence, une préoccupation pour les autorités en place qui donnent l’impression de n’avoir pas encore pris la mesure de l’ampleur des dégâts.

    Par Nordine Grim

    Source : http://www.elwatan.com/L-angoisse-et-la-deprime





     

     

    MOUHARAM, 1ER JANVIER ET YENNAYER...Trois fêtes de fin d’année qui se croisent.

    30/12/2008 04:11

    MOUHARAM, 1ER JANVIER ET YENNAYER...Trois fêtes de fin d’année qui se croisent.


    Ces fêtes qui se succèdent témoignent de la diversité et de la richesse du patrimoine culturel national.

    Les Algériens, qui ont célébré, hier, dans les conditions que l’on connaît le début de l’année hégirienne, s’apprêtent à célébrer dans les jours à venir deux autres fêtes de fin d’année. En tout et pour tout, le calendrier leur impose de passer trois réveillons en l’espace seulement de 13 jours.
    Il s’agit bien évidemment de la fête de l’An hégirien, 1er Mouharam 1430, du premier jour du calendrier grégorien ou universel, 1er Janvier 2009 et du premier Yennayer 2959 (amenzu n yennayer pour les Amazighs) douzième jour du mois de janvir du calendrier julien (berbère). Toutes ces fêtes, quoique différemment, sont célébrées dans les quatre coins du pays.
    Cela témoigne, on ne peut mieux, de la diversité et de la richesse culturelles dont jouit l’Algérie. Une diversité très mal appréciée au niveau officiel, que les citoyens assument et célèbrent non pas de la même manière mais dans la même expression, c’est-à-dire la célébration d’une fête de fin d’année.
    Les Algériens, qui se reconnaissent dans toutes ces fêtes, savent bien que cette richesse du patrimoine national culturel est une constituante de l’identité même de la nation.
    Si la célébration de Mouharam s’inscrit dans la liste des fêtes religieuses et partagée avec le reste des pays musulmans du monde, a été quelque peu faussée par le massacre israélien en Palestine, il n’en demeure pas moins que les foyers algériens l’ont célébrée chacun à sa manière et chez-eux. Intensification de la lecture et de la récitation du Coran, veillées religieuses et prières collectives sont entre autres les activités émaillant cet événement.
    Aussi, des plats traditionnels, variant selon les régions, sont préparés pour marquer cette fête religieuse. De la rachta algéroise à la chekhchoukha constantinoise passant par le couscous kabyle, les Algériens ont célébré cette fête.
    Les fonctionnaires des institutions publiques sont, eux, gratifiés d’une journée chômée et payée.
    Pour la Saint Sylvestre, le réveillon est célébré avec plus de consistance et de circonstance. «Ostentatoirement» fêté, les Algériens l’accueillent avec un semblant de modernisme voire même parfois d’orgueil.
    A son approche, même les grandes villes du pays observent une animation qui n’a rien avoir avec le reste de l’année. Une tournée dans la rue Didouche Mourad à Alger, au cours de ces derniers jours, nous renseigne sur cette réalité.
    Etant universel, les plus nantis des Algériens préfèrent le passer sous d’autres cieux, de préférence à Paris. Pour ceux qui veulent le fêter ici, la plupart des hôtels annoncent aux intéressés des soirées animées avec dîner gastronomique. Et ce ne sont pas les formules qui manquent.
    Ambiance familiale mesurée pour les plus érudits, ou ambiance carnaval de type non-stop jusqu’à l’aube pour les inconditionnels fêtards.
    Tout dépend de ce qu’on veut mais aussi de ce qu’on peut débourser. Certains établissements hôteliers n’hésitent pas à faire appel aux stars orientales et aux chanteurs nationaux de renommée.
    La bûche est évidemment indispensable au décor. Un menu spécial pour une fête spéciale, doit-on dire. Il faut juste y mettre le prix. Dans les villages, c’est une autre tradition qui tend à s’installer.
    Au petit réveillon, tout le monde ou presque, en solo ou en groupe, s’enivre et se débarrasse d’une angoisse qui aura duré 365 jours. Douze jours plus tard, les Algériens auront à célébrer le 1er Yennayer 2959 du calendrier berbère.
    Fête autochtone, non inscrite dans le calendrier des fêtes nationales, elle garde intacte sa signification. Conçu pour la division des saisons et pour des besoins purement agraires au lendemain de la prise de l’Egypte par les Berbères il y a 2959 ans, le calendrier Berbère est pris pour référence dans plusieurs régions berbérophones.
    En Algérie, Yennayer est célébré pratiquement à travers tout le territoire national. De la Kabylie à Tamanrasset, de Tlemcen à Oran, chaque région le marque à sa manière. En Kabylie, c’est un couscous spécial qui est préparé avec le sacrifice d’un coq et les parents procèdent également à coiffer leurs enfants pour la première fois.
    D’autres activités, comme les séminaires et les journées d’études, sont concoctées pour l’occasion. Cela étant, les Berbères qui célèbrent avec la même rigueur les fêtes de fin d’années universelle et musulmane aspirent à ce que Yennayer soit célébré de même par toutes les communautés. Ils demandent surtout à ce qu’elle soit reconnue comme étant fête nationale au même titre que Moharam et le 1er janvier.

    Par :Karim AIMEUR

    Source :http://www.lexpressiondz.com/article/2/2008-12-30/59231.html



    Commentaire de Arezki (30/12/2008 04:13) :

    Joyeuses fetes a toutes et a tous!

    http://reghaia.mon-vip.com
    a111@sympatico.ca

    Commentaire de Boudjema (01/01/2009 15:42) :

    assegas amagaz pas de douleur pas de malheur une vie pleine de bonheur de sentiment de chaleur pour une personne de valeur bonne annèe !

    boudj_ao@yahoo.fr



     

     

    L'Aïd al-Adha fixé au Lundi 8 décembre 2008

    01/12/2008 01:32

    L'Aïd al-Adha fixé au Lundi  8 décembre 2008


    La fête du sacrifice Aïd al-Adha aura lieu le lundi 8 décembre, un jour après le rassemblement des pèlerins sur le mont Arafat.

    Cette fête commémore le sacrifice d'Abraham, en souvenir duquel les musulmans immolent "un mouton, un bovin, un caprin ou un camélidé".

    Saha Aidkoum ...Bonne  fête a toutes et a tous...

    Arezki de Montreal.



    Commentaire de Salim Zehar (08/12/2008 16:30) :

    ÚíÏ ÓÚíÏ ÃäÇ ãÇ ÃÞæá ßá ÚÇã æ ÃäÊ ÈÎíÑ áßä ÃÞæá ÃäÊ ÇáÎíÑ áßá ÚÇã ÚíÏ ÓÚíÏ ¡ æÚãÑ ãÏíÏ Úáì ØÇÚÉ Çááå

    ze_milas@yahoo.fr

    Commentaire de Arezki de Montreal (08/12/2008 16:37) :

    Merci bcp cher ami Salim ...c'est tres gentil de ta part de m'ecrire ces beaux mots qui rechauffent le coeur en cette journee de l'AID el Adha...meme s 'il fait -20 degres c...portes toi bien et bien le bonjour a toute ta famille a Reghaia sans oublier tous les amis(wlad el houma )bonne fete a toutes et a tous !de ma part Arezki de Montreal au CANADA. Ps:je profite pour passer mes meilleurs voeux a ma famille a Reghaia ,a Kouba ainsi qu'en kabylie...A r tufat

    http://kabylie.mon-vip-blog.com
    a111@sympatico.ca

    Commentaire de FoR HaPpY PeOpLe OnLy (10/12/2008 08:48) :

    Bonjour en ce mercredi et merci de passé chez moii ( aid mobarak said)

    http://ninz.vip-blog.com



     

     

    Reghaia avec Google Maps

    29/11/2008 19:43

    Reghaia avec Google Maps


    Algérie...

    Reghaia avec Google Maps ...

     

    Population en 2000: 54962 habitants.
    Ne comprend pas les banlieues.
    Autre orthographe possible: ar-Ragayah .
    Région administrative: Bumardas .

    Villes de plus de 50 000 habitants: 119 villes.
    Point le plus à l'Est de cette carte: -8.673868° (longitude)
    Point le plus au Nord de cette carte: 37.093723° (latitude)

    Source : http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/BMEncyclopedie/ContenuGeo.jsp?nomVilleUnique=Reghaia&coor1VilleUnique=36.73&coor2VilleUnique=3.35%20&coor1=37.093723&coor2=-8.673868&zoom=14.52544218351095&codePays=DZA&id=33214&typeCarte=6&mani=true



     

     

    Migration, mobilité des populations, exode rural et gestion des territoires...La géographie tourmentée de l’espace algérien.

    22/11/2008 11:37

    Migration, mobilité des populations, exode rural et gestion des territoires...La géographie tourmentée de l’espace algérien.


    Ayant peu intégré la notion d’aménagement du territoire dans ses différents programmes de développement, l’Algérie vit ce déficit de vision spatiale de développement (territoires et ressources) comme un handicap majeur compromettant la mise en synergie du capital humain avec le milieu dans lequel il vit. Ce genre de distorsion se traduit par la disparité des degrés de développement des régions du pays, l’instabilité chronique des populations actives appelées à gagner leur vie là où l’offre d’emploi est la plus présente et des réactions culturelles (intégrisme religieux, retard dans la formation de la ‘’citadinité’’,…) qui expriment une tension à la limité du pathologique.

    En effet, la répartition géographique de la population et sa mobilité inscrite dans l’espace et dans le temps induisent des comportements et des attitudes particulières quant à la manière dont sont appréhendés, intériorisés et vécus les éléments de l’environnement. La symbiose qui a pu s’établir en Algérie entre l’homme et la nature avant les grands bouleversements coloniaux et les profonds changements apportés par l’indépendance du pays n’est sans doute plus qu’un souvenir qui ravive l’imaginaire collectif dans une situation fort tendue où ni l’individu ni la communauté ne trouvent leur compte.

    En tout cas, le cadre de vie façonné par une “modernité” problématique- car pleine de contradictions et de comportements à l’hybridité oppressante- tend de plus en plus à échapper aux hommes et aux structures administratives si bien que de lourdes menaces commencent à peser sur l’ensemble de la collectivité.

    L’actualité de ces deux derniers mois illustre à sa façon cette relation distendue entre la éléments de la nature et les populations. Depuis le début de la saison automnale, des dizaines de personnes ont trouvé la mort, des centaines de maisons ont été détruites et des milliers de têtes de cheptels ont été éliminées par les pluies somme toute saisonnières mais qui ont surpris les populations et les pouvoirs publics du fait de l’état d’impréparation qui a caractérisé la gestion des espaces et des infrastructures.

    La gestion de la cité n’est pas seulement faite d’espaces à occuper, d’emplois à créer et de salles de fêtes à animer. C’est aussi et surtout la protection des biens et des personnes contre toutes sortes d’agressions qu’elles viennent de la nature-laquelle n’a jamais fait de cadeaux à l’humanité- ou de la société elle-même lorsque les normes et la morale qu’elle s’est tracée se trouve quelque part ébranlées pou biaisées.

    Face à de fâcheux événements qui meublent notre quotidien au cours de ces dernières années, des citoyens et des responsables se posent souvent la question de savoir pourquoi et comment se multiplient des cas d’éboulement de terrains, réputés solides et bien ancrés, des cas de maladies infectieuses prenant parfois l’allure d’épidémies mortelles ou de maladies allergiques touchant enfants et adultes. On peut pousser les interrogations pour s’enquérir des raisons de la diminution des capacités de stockage de nos barrages et du retour de certaines de pathologies, telles que la gale, la peste bubonique ou la tuberculose que seule la mémoire populaire a pu retenir des années noires de la misère et de la colonisation. Un chamboulement qui échappe à tout contrôle

    L’Algérie, avec un volontarisme et un populisme effrénés, avait investi dans la construction industrielle et l’urbanisation à telle enseigne que le visage du pays –panorama rural, tissu urbain, rythme de vie- se trouve complètement chamboulé au bout de quatre décennies. Ce processus a été rendu possible par les disponibilités financières issues de la rente pétrolière. C’est pourquoi-du fait de son ampleur et de sa rapidité-, il n’a été ni intériorisé ni, à plus forte raison, bien conduit dans ses aspects pratiques et domestiques. Il s’ensuit que, contrairement aux pays industrialisés, les critères environnementaux ne sont pris en charge qu’au cours de ces dernières années. Et encore, cela s’est fait généralement suite aux conditionnalités accompagnant certains programmes de développement financés par des institutions étrangères (PNUD, BIRD, FAO). Mieux vaut tard que jamais, ces tests commencent à donner leurs fruits en instaurant une certaine pédagogie dans le montage des projets, y compris ceux managés par des entreprises privées. Il devient de plus en plus impératif de faire accompagner n’importe quelle activité économique de ses variables environnementales dans l’objectif d’atténuer les effets ‘’secondaires’’ susceptibles d’être induits par les programmes de développement. En tout cas, pour la majorité des bailleurs de fonds, la sensibilité à l’aspect écologique du développement fait désormais partie du coût des projets qu’il importe de porter sur le tableau des bordereaux des prix et des devis en tant que rubrique générant une charge vénale incompressible. 

    La logique de l’évolution historique

    Depuis le début de la colonisation jusqu’aux programmes de développement de l’Algérie indépendante, la population, la propriété foncière, les modes de vie, les systèmes de production, la cellule familiale et la gestion de l’espace, en tant que lieu d’habitat et ressource primaire , ont connu de tels chamboulements que le pays s’est complètement métamorphosé. De fond en comble, la relation avec la terre et avec ses éléments principaux (montagnes, ruisseaux, fermes, assiettes foncières, ressources naturelles) se trouve transformée. Le système colonial, dans une stratégie de cantonnement des populations indigènes, a construit des villes nouvelles, crée des usines, bâtie des écoles et des infrastructures de desserte, comme il a institué le système de métayage qui avait réduit nos paysans à une main-d’œuvre taillable et corvéable à merci. À l’intérieur même des villes européennes nouvellement construites en Algérie, les poches de misère des indigènes ont été circonscrites dans des quartiers dits ‘’arabes’’. Entre Bab Djedid, Square Bresson et le lycée Bugeaud (actuel Emir Abdelkader), était confinée la population de la Casbah. Il en est de même pour les autres agglomérations d’Algérie, et cela qu’elles que fussent leurs dimensions (Koléa, Sour El Ghozlane, Perrégaux, actuelle Mohamadia,…).

    Pour faire fonctionner les fermes et les ateliers tenus par des Européens, il a été fait appel à des ouvriers de l’arrière-pays montagneux et des Hauts Plateaux. Nos grands-pères se souviennent encore des campagnes de vendanges à Boufarik, Dellys et Berrouaghia qui faisaient mobiliser les jeunes paysans loqueteux de Larba Nath Irathène, Ksar El Boukhari, Aïn Boucif et Sidi Aïssa. Toute la Mitidja était prise en charge sur le plan de la main-d’œuvre par cette armée de réserve qui a survécu aux guerres et aux épidémies.

    Des tâches sporadiques ou saisonnières (cueillettes d’oranges et clémentines, vendanges, arrachage de pommes de terres), des travaux exigeant une présence plus assidue (irrigation, labours, taille,…) ou des fonctions permanentes (machinisme agricole, construction, gardiennage,…) ont fait venir des milliers de personnes de la campagne déshéritées vers les plaines fertiles, près des grandes villes. À l’ancien statut de célibataire est venu se substituer, quelques temps après, le statut de chef de ménage. C’est ainsi que des milliers de familles se sont déplacées au cours du 20e siècle, créant un vaste phénomène d’exode rural.

    Sur le lieu d’arrivée, l’installation ne s’encombre pas de commodités ou de luxe qui, de toute façon, ne viendront jamais. Ce sont des chaumières en tôle de zinc, parfois des masures en pisé, sans sanitaires ni espace suffisant, qui vont constituer des ceintures de misère autour des villages coloniaux (Boufarik, Birtouta, Tipaza, Bordj Ménaïl,…).

    L’Indépendance consacre la tendance à l’exode

    Cette situation perdurera après l’indépendance du pays. Pire, au vu des promesses nourries par la Révolution algérienne consistant à bannir le statut de khemmes et à réhabiliter le paysan algérien, d’autres ‘’fantaisies’’ allaient voir le jour du fait d’un réel déracinement. Le statut de paysan a été dévalorisé au vu de son histoire peu glorieuse pendant la colonisation. Il s’ensuivit une fonctionnarisation effrénée, tendant à se décomplexer vis-à-vis de l’ancienne puissance coloniale et, par-là même, à vouloir reproduire les mêmes schémas d’organisation et d’ascension sociale.

    Cette forme de ‘’stabilisation’’ a eu un effet d’entraînement par lequel d’autres contingents venus des campagnes ont décidé de s’installer dans les villes en rompant avec leur ‘’bercail’’. Des besoins nouveaux sont nés avec une telle situation de fait accompli : école pour les enfants, dispensaires, raccordement aux réseaux AEP, gaz et électricité, assainissement...Une façon comme une autre de régulariser implicitement une urbanisation anarchique. Cela va encore se renforcer avec l’ouverture de nouvelles routes et pistes de desserte, l’installation de magasins d’approvisionnement et parfois d’antennes administratives d’APC.

    En matière de travail, les gens s’occuperont de tout sauf de l’agriculture : fonctionnariat, transport clandestin, petits ateliers de mécanique, épiceries, ventes de produits à la sauvette.

    Et ce n’est qu’à partir du milieu des années 1980 que le chômage, la délinquance juvénile, le banditisme, le commerce des stupéfiants et les autres comportements anti-sociaux nés dans ces favelas commencent à sérieusement inquiéter les pouvoirs publics et à intéresser les milieux intellectuels et universitaires.  Ces espaces, autrefois lieux de production agricole malgré la discrimination salariale et la politique d’indigénat, ont été vite transformés en aires bétonnées, en grands cloaques d’eaux usées et en lieu de marginalisation d’où se fortifiera l’intégrisme religieux.

    Les flux migratoires ‘’imposent’’ des politiques de développement absurdes

    Les flux d’exode des populations ont entraîné avec eux l’insouciance des autorités locales quant aux actions de développement. Des pistes sont restées non bitumées pendant une trentaine d’années. Les anciennes routes ouvertes par le génie militaire français pour les besoins de la guerre et qui avaient desservi aussi des bourgades et des villages sont tombées en ruine. Le retard d’électrification, d’adduction d’eau potable, d’assainissement et de raccordement au téléphone n’encourage pas les anciens habitants à retourner chez eux. Et, raison capitale, aucune politique de l’emploi en milieu rural, basée sur l’agriculture, l’élevage et l’artisanat n’avait été initiée. La rente pétrolière, dont les effets ont commencé à se faire sentir dès les années 1970, pouvait suppléer à toutes les paresses. Cette manne du sous-sol algérien a permis tous les errements ! Même dans les anciens ‘’villages socialistes agricoles’’ (VSA), l’emploi agricole est devenu minoritaire : les gens sont versés dans l’économie informelle, le transport clandestin et le fonctionnariat. C’est un véritable échec ‘’planifié’’ qui a gangrené la société et l’économie en général. Comme si cela ne suffisait pas, la dernière décennie du vingtième siècle  a mis sens dessus dessous une situation qui tenait déjà d’un véritable  capharnaüm algérien suite à la subversion islamiste- dont l’ascension idéologique et messianique doivent beaucoup, selon l’analyse de feu Mostefa Lacheraf, au déracinement de la société algérienne ayant subi l’exode rural- et les problèmes sociaux s’en trouvent amplifiés.

    Il en résulte que la demande en logement va crescendo et épouse une courbe exponentielle sans fin. En outre, le déséquilibre de la répartition démographique caractérisant le territoire national- la zone côtière se trouve surchargée par rapport aux Hauts Plateaux et au sud du pays-  ajouté à la consommation effrénée des terres agricoles pour les besoins du béton, font  peser, à moyen terme, un lourd danger au cadre général de vie des Algériens et à l’environnement immédiat, déjà bien mis à mal  par toutes sortes de pollutions et de ‘’rurbanisations’’.

     Au lieu que les autorités et les techniciens algériens consacrent leurs efforts à la réflexion sur un meilleur cadre de vie en améliorant la qualité du bâti, l’architecture des immeubles et l’embellissement des espaces secondaires de nos cités, ils se voient réduits à faire de sempiternels calculs en millions d’unités d’habitation à délivrer à des dizaines de millions de demandeurs. Et c’est un cycle infernal qui ne pourra être jugulé que par une vision globale, rationnelle et cohérente de l’économie et de l’aménagement du territoire.

     Un hinterlind soumis aux aléas du mal-développement

    Des très vastes superficies de forêts ont été incendiées au cours des quinze dernières années.  Les besoins en bois de la population ayant fortement diminué depuis que la bouteille de gaz et le gaz de ville sont devenus accessibles à la majorité de la population algérienne, il s’en est suivi un déficit de civisme qui a éloigné les populations des interventions anti-incendies sauf lorsque le feu menace des habitations, alors que jusqu’aux années 80 du siècle dernier, les habitants des villages ruraux étaient les premiers à étouffer le feu.

    Lorsque les agents des services des forêts et de la Protection civile arrivent sur les lieux, ils se contentaient souvent de rédiger le procès-verbal d’un incendie vite circonscrit. Et, lorsque nos programmes scolaires et les autres moyens de sensibilisation ne sont pas mis à contribution pour faire connaître les autres bienfaits du tissu forestier, on ne peut pas demander au citoyen d’avoir la conscience écologique par ‘’décret’’.

    Les symptômes des effets du déboisement n’ont jamais été aussi visibles que lors des trois dernières saisons de pluie. La presse a rapporté de tous les coins du pays des inondations et des éboulements qui ont touché les villes et les routes. La RN 5, au niveau des gorges de Lakhdaria, a été obstruée en janvier 2005 à plusieurs reprises par des chutes de gros blocs déboulant à toute vitesse sur un terrain qui a perdu son ciment naturel, la végétation. Il est de même de la RN 1 au niveau de la Chiffa lors de l’hiver de l’année dernière.

    Ayant perdu son pouvoir régulateur du régime des eaux, le sol voit, du même coup, ses capacités de filtration réduites à néant, ce qui aboutit à une torrentialité accrue de l’écoulement des eaux créant des inondations au niveau des villes et des villages. Ce dernier phénomène est, bien sûr, aggravé par les constructions illicites sur les zones inondables des berges.

    Le même phénomène est à l’origine de l’envasement des barrages, ce qui, à la longue, réduira fortement leur capacité de rétention comme c’est la cas pour le barrage du Ksob, touchant les wilayas de Bordj Bou Arréridj et M’sila.

    A ce propos, on ne peut que se réjouir de l’esprit de prospective et de l’Agence nationale des barrages et transferts (ANBT) qui fait mener une étude sur la protection du bassin versant du barrage de Koudiat Acerdoune  (s’étendant sur presque 3000 km2 entre les wilayas de Bouira et Médéa) bien avant l’achèvement des travaux de construction de cet ouvrage.

    La qualité de la vie en question

    Qu’on examine de près nos villages et bourgades ; ils sont devenus de géants cloaques d’eaux usées et de nauséeux monticules de déchets pour la plupart non biodégradables. Ce n’est pas le moindre des paradoxes que ce qui, sous d’autres cieux, est considéré comme un parangon de pureté et de cadre idéal de vie- à savoir la campagne et les zones rurales- se présente en Algérie sous le manteau hideux de la pollution et de la saleté. C’est pourquoi, des techniciens et des membres de la société civile commencent à s’inquiéter du sort qui sera réservé à la qualité de l’eau du barrage de Taksebt, à Tizi Ouzou, au vu de l’énorme volume d’eaux usées déversées par les dizaines de villages situés dans son bassin versant. Les capacités d’autoépuration du sol n’étant évidemment pas illimitées, cette inquiétude ne pourra être évacuée que par l’installation des stations de traitement en amont du plan d’eau. Le ministre des Ressources en eau n’a pas manqué de soulever cette question au cours d’une visite sur le site.

    Dans nos villes, les monticules d’ordures, y compris devant des institutions publiques, n’attirent même plus la curiosité des journalistes tellement le spectacle fait partie du décor familier. Les habitants ayant élu domicile sur l’axe Oued Semmar-Meftah sont pris entre les pinces de deux purgatoires : les rejets de la cimenterie et la fumée éternelle de la décharge-appelée en principe à être délocalisée- ont délimité l’espace morbide qui rend la vie carrément infernale sous cette latitude. Le nombre d’enfants asthmatiques ou atteints d’autres affections liées à l’environnement vicié ne se compte plus.

    A Sour El Ghozlane, deux usines polluantes, la cimenterie et l’usine de détergents, ne sont séparées que par six mètres de distance (le CW 127). Les poussières crachées par la première et les effluents spumeux rejetés par la seconde n’ont pas encore été évalués par des études scientifiques pour connaître leur degré de nocivité. Faudrait-il attendre l’irréparable pour procéder à un tel diagnostic ?

    Les valeurs de l’environnement sont indubitablement celles de la civilisation et du civisme ; ce sont aussi les valeurs de l’économie et de la société modernes basées sur la rationalité, la bonne gouvernance et la veille technologique. L’environnement  a un coût économique dont les pouvoirs publics ne peuvent faire l’économie. Mais, c’est aussi l’ensemble de la société qui est interpellé, avec le monde associatif, les élites scientifiques et les élus, pour faire prévaloir une nouvelle culture bâtie sur un cadre de vie sain, un aménagement du territoire basé sur l’équilibre physique et biologique des ressources et qui intègre dans son schéma la gestion harmonieuse de l’espace où la ville et la campagne pourront prétendre à cette complémentarité nécessaire qui fait le territoire global.

    Comme l’écrivait, en avril 1972 déjà, Mostefa Lacheraf : " Qu’il soit bien compris que si la ville avec ses techniques, ses institutions, ses hommes, ses apports indispensables, ne va pas vers les masses rurales, c’est la misère paysanne, l’exode paysan qui viendront à elle pour l’assiéger de leurs débris anachroniques et malheureux ; de leurs valeurs déracinées, comme un reproche vivant et un rappel insoutenable dont certains ne veulent retenir qu’une image embellie ou surfaite pour soulager leur conscience (…) Quant la ville dépérit, le milieu rural et sa force d’inertie l’envahissent sans qu’elle oppose la moindre résistance.

     Une cité vraiment urbanisée, outillée, soucieuse de rayonner sur l’arrière-pays par son impact politique et institutionnel, sa fonction créatrice, ses métiers, ses artisans, aide la campagne à se transformer. Sinon, comme nous le constatons aujourd’hui,  le dépérissement urbain étrangle aussi le milieu rural sans recours et rend vulnérables les rapports économiques ".

    Par : Amar Naït Messaoud

    iguerifri@yahoo.fr

    Source : http://www.depechedekabylie.com/read.php?id=63241&ed=MTk3Mg==



    Commentaire de cathy7302 (16/12/2008 23:00) :

    Bonsoir toi, je connais un peu de l'Algérie, j'y suis allée à 2 mois et demi pour mon premier voyage ! Mon père y est né, c'est un pied-noir d'Oran. Bonne soirée, Cathy.

    http://cathy7302.vip-blog.com

    Commentaire de cathy7302 (16/12/2008 23:00) :

    Bonsoir toi, je connais un peu de l'Algérie, j'y suis allée à 2 mois et demi pour mon premier voyage ! Mon père y est né, c'est un pied-noir d'Oran. Bonne soirée, Cathy.

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