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Sports : L'affaire NARBR-ABS a-t-elle livré tous ses secrets ?
03/07/2007 04:31
par Kamel Mohamed
L'affaire NARBR-ABS a-t-elle livré tous ses secrets ?
La question reste posée.
Les instances du football national ont mis du temps à traiter le dossier alors que la réglementation est claire à ce propos.
Cette affaire n'a-t-elle pas éclaboussé la FAF et la LNF qui ne sont pas allées jusqu'au bout ?
Des gens de la Fédération et de la Ligue et en dehors de ces deux instances qualifient cette affaire de «grave». Grave car les dirigeants de l'USMBA, partie prenante dans cette affaire, ont fait des révélations et ont ouvertement accusé dans la presse l'ABS et le NARBR d'avoir arrangé le match justifiant leurs accusations selon la presse par le refus du NARBR de formuler des réserves sur le joueur suspendu de l'ABS ayant participé à la rencontre.
Dans les attendus de la LNF, il est mentionné qu'il n'y a pas de preuves tangibles. Il est vrai que la Ligue et la Fédération ne peuvent pas se substituer à un commissariat de police ou à un tribunal mais il fallait dans ce cas sanctionner l'USMBA.
Selon la logique de la LNF, les accusations de Bel-Abbès sont infondées.
Cependant quand on sait que l'affaire a été traitée en secret et dans l'opacité, l'on comprend qu'elle est scabreuse.
Le dossier devait être traité par la FAF, mais c'est la Ligue qui s'était réunie vendredi dernier pour trancher.
«En l'absence de preuve» selon la LNF, celle-ci aurait saisi carrément la justice et lui remettre cette affaire.
Les dirigeants de l'ABS et du NARBR auraient dû, eux aussi, réagir aux accusations de l'USMBA rapportées par la presse.
Dans ce cas, les dirigeants de Reghaïa et Bousaada ont été diffamés par leurs homologues de Bel-Abbès.
Dans cette affaire, c'est le football national d'une manière général qui perd encore de sa crédibilité.
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PLATEAU DE BOUDOUAOU EL-BAHRI
20/06/2007 22:30
LE RADAR DE LIBERTE
Les habitants dans l’isolement
Les habitants du quartier Le Plateau de Boudouaou El-Bahri sont dans l’isolement depuis l’entame des travaux de réfection de la route.
De véritables tranchées ont été creusées empêchant par endroits les riverains d’accéder à leur domicile.
Les travaux, qui ont débuté depuis plusieurs semaines, ont été suspendus ces derniers jours sans raison apparente.
Qu’attend l’APC de Boudouaou pour intervenir auprès du maître d’œuvre ?
LE RADAR
radar@liberte-algerie.com
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Hommage aux mères…. !
15/05/2007 18:15
BEAU TABLEAU DE Melle BELMEDJBAR SUR LA FEMME KABYLE
Elles nous ont mis au monde, elles ont bravé, chacune à sa manière, la mise au monde d’un enfant que nous étions et de cet adulte que nous devenons…..Elles ont fait une concession à leur vie au détriment de la notre…..Elles ont pleuré quand on a mal, elles riaient quand on sourit d’un berceau ancestrale et elles veillaient des nuits à nous blottir dans leurs bras quand le sommeil de cet que enfant que nous étions n’était pas juste….
Elles, ce sont nos mères, celles –la qui nous ont vus grandir tantôt dans l’aise et la joie tantôt dans la peur et l’angoisse d’une vie dure. Peu importe son origine, sa nationalité, la mère est la même, elle a, la même douleur et la même façon d’espérer, la même peine et le même cœur qui attend, qui espère. Ne dit on pas qu’il n’y a qu’une mère qui peut comprendre son fils ? Mais si on renverse la question, ce fils a t- il compris un jour sa mère ? A-t on compris une fois sa maman ? De sa douleur, de sa fatigue de ses peines, certes qui différent d’une mère à une autre mais en général, toutes les mamans sont très attentives à leurs enfants, mais certaines mères le sont beaucoups, beaucoups plus que les autres. On les appelle des "mères poules" car elles "couvent" leurs enfants, elles veulent les protéger de tout, les garder "sous leurs ailes". Mais les enfants une fois grandis, deviennent adultes ne peuvent mesurer tout cette ébauche d’énergie déversée pour lui, toute cette attention prise dans le temps de son inconscience…..Aujourd’hui, ils ne peuvent même comprendre ni à pouvoir rendre la monnaie de sa pièce au contraire on en remarque un revers de médaille qui atteint le point de non retour ,celui de fuir celle qui l’a enfanté et des fois atteindre son intégrité en la battant et combien de cas ont été déclares ça et la,,,,,et la mère mérite –elle cette récompense ? D’aucuns se disent qu’avec le temps, l’enfant grandit et adopte un autre comportement et quand il devient adulte, il est pris par d’autres responsabilité…..mais ceci n’est qu’une simple vision parce que réellement, le respect d’autrui n’a pas d’age alors quand il s’agit d’une mère, il est évident quand on a pas besoin d’un schéma pour comprendre qu’elle fait partie de nous, même si au pire des cas, on ne se rend pas compte….et quelque part ,la mère est le pilier d’une famille que même si sa progéniture va ça et la ,elle en demeure toujours une adresse morale puisque c’est à elle qu’on en se confie quand on a mal et c’est elle qui se peine de notre douleur plus que nous…..Aujourd’hui ce serment sacre se veut détourné comme un fleuve qu’on a jamais connu . On assiste à des moments les plus maussades ô ! combien douloureux de la voir pleurer dans un temps ou elle se sent seule….il serait difficile de décrire ce moment mais il ne serait jamais difficile de le comprendre et le comprendre c’est rendre au moins un petit hommage à celle qui nous a fait des ailes ,à celle, qui est, toute sa vie de nos cotes, à celle qui ne sent sa joie que dans celle de son fils…à celle qui toute notre vie, on ne pourra jamais rendre, en entier, tout le bien dont elle s’est débattu pour nous. .celle-la s’appelle une mère… celle-la dont on a pas une autre de rechange… Par M.Z.
Source de l'article : http://www.algeronet.com/article.php?id=246
Commentaire de dounia (24/05/2007 18:39) :
http://dounito2.vip-blog.com
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RÉGHAÏA :Des commerçants menacent de se jeter du toit de l'APC
07/05/2007 04:47
La ville de Reghaïa à l'est d'Alger a vécu mardi dernier une soirée mouvementée. Et pour cause, près d'une dizaine de commerçants sont montés sur le toit de l'APC et ont menacé de se suicider collectivement dans le cas où les autorités ne daignent pas les écouter.
Des centaines de personnes se sont agglutinées devant l'APC en acclamant les commerçants qui juraient à qui voulait les entendre qu'ils sont ruinés et que leurs familles n'ont rien à manger. Malgré les appels incessants aussi bien des policiers que des gendarmes qui se sont rendus sur les lieux pour convaincre les «suicidaires» de descendre, ces derniers ont refusé. Les commerçants en question, dont certains sont sexagénaires, revendiquaient, avons-nous appris sur place, que l'on restitue leurs magasins détruits par les services de l'APC le mois d'août 2004 pour raison d'utilité publique et après avoir eu l'assurance des autorités qu'ils allaient être indemnisés.
La genèse de ce «conflit» qui oppose l'APC de Reghaïa à ces commerçants remonte au mois de décembre de l'année écoulée quand les «contestataires» se sont rendu compte que les terrains affectés par cette mairie au niveau de la cité SIGNA en guise justement d'indemnisation pour la reconstruction de leurs locaux, n'appartenaient pas à l'APC. En effet, quelques jours après avoir entamé la construction des locaux commerciaux, les commerçants ont été sommés par le Centre national des études et recherches en urbanisme (CNERU) d'arrêter immédiatement les travaux car tout le terrain était déjà affecté par la wilaya d'Alger pour la construction de 155 logements, et ce dans le cadre du programme présidentiel de construction du million d'unités d'ici 2009. Selon un responsable du CNERU, le projet de réalisation des 155 logements accuse un retard de trois mois faute de permis de construire qui n'a pas encore été, explique-t-il, délivré par l'APC de Reghaïa.
En tous les cas, les contestataires ont affirmé que le wali délégué aurait donné des instructions à l'APC afin de les installer sur la placette de la ville mais rien n'a été fait depuis, ce qui les a fait réagir de la sorte, mardi dernier, en organisant une action spectaculaire pour attirer l'attention des responsables concernés après avoir passé plusieurs mois entre les services de l'APC et la daïra.
Finalement, ce n'est que vers minuit mardi passé que le vice-président chargé du social à l'APC de Reghaïa réussira à convaincre les commerçants qui étaient déterminés à aller jusqu'au bout de descendre et de renoncer à leur action. Une réunion entre l'APC, d'un côté, la daïra et les contestataires, de l'autre, a eu lieu hier au siège de la mairie et la décision a été prise pour affecter d'autres terrains sur un autre site au profit de ces commerçants pour la reconstruction de leurs magasins.
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Une cité à Réghaïa à l’abandon
10/02/2007 04:07
En entrant à la cité des 384 logements située à Réghaïa, le regard se heurte à une montagne d’ordures ménagères déposées dans une endroit très emprunté par les écoliers et les riverains, avec, en sus, un éclairage très faible .
Par ailleurs, certains résidents de cette cité ont commencé à squatter les espaces pour les transformer en locaux commerciaux ou en garages en plein air, dans une anarchie indescriptible.
Les habitants interpellent les autorités locales de cette circonscription pour se pencher sérieusement sur les problèmes du manque d’hygiène, du faible éclairage, d’absence d’espaces verts, etc.
R. A. I.
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=60429
Edition du 8 février 2007 > Alger Info
Commentaire de Fella (08/03/2007 12:08) :
Bravo pour ce blog ...pleins d'articles interessants sur notre ville
réghaia et aussi des photos souvenirs ....bonne continuation....
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Commune de Réghaïa : Anarchie et projets abandonnés
04/02/2007 04:38
Les habitants de la commune de Réghaïa, à 30 km à l’est d’Alger, semblent abandonnés à leur triste sort. En témoigne la prolifération inquiétante des marchands informels qui ont envahi la plupart des cités.
En effet, les commerçants illégaux, pour leur majorité venus des villes intérieures du pays, ne se gênent pas outre mesure et exposent leur marchandise jusqu’aux portes du siège de l’APC.
Les habitants des quartiers DNC, Sinistal et Mafal en payent les frais.
« Nous avons envoyé des dizaines de plaintes aux élus locaux et aux forces de l’ordre afin qu’ils interviennent et mettent un terme à cette anarchie, mais personne ne veut se mouiller », atteste un habitant.
Un autre locataire affirme que des familles éprouvent du mal à faire évacuer un malade vers l’hôpital pour la simple raison que les ruelles et les allées, squattées, sont constamment obstruées par des barres de fer, les immondices et les carrés de contreplaqué. « Même si vous avez l’intention d’organiser une fête, il faut la faire délocaliser ailleurs pour ne pas subir les obscénités des vendeurs illégaux », ajoute notre interlocuteur.
Ayant subi le tremblement de terre de mai 2003 de plein fouet, les habitants des cités de Réghaïa, en quête de quiétude après leur retour des chalets, ne savent plus à quelle autorité se vouer.
« Nous avons frappé à toutes les portes mais personnes ne veut nous écouter », se désolent des habitants en colère.
Pour Ahmed Makhloufi, élu chargé des affaires sociales à l’APC, les trois marchés de proximité entrant dans le cadre du programme présidentiel et qui devaient être opérationnels au mois de mars dernier, selon les recommandations du wali d’Alger, sont abondonnés.
Ces infrastructures, financées à hauteur de 500 millions de centimes (par marché) par l’APC et pour le même montant par les services de la wilaya, se sont transformées en décharges publiques.
« Comment voulezvous mettre un terme au commerce informel alors que les projets sont à l’arrêt et qu’aucun responsable ne s’en soucie ? » s’interroge notre vis-à-vis.
Pour lui, d’autres projets d’utilité publique ont été mis au placard. C’est le cas de la salle omnisports, ayant ingurgité, atteste-t-il, la bagatelle somme de 1,5 milliard de centimes, et qui demeure à l’arrêt depuis 2003.
La bibliothèque communale, qui a coûté 800 millions de centimes, est également abandonnée. Idem pour les projets de l’école Chebcheb ou le stade de proximité de Haï El Bey qui n’ont pas été encore relancés.
Notre interlocuteur ira plus loin en attestant que le marché d’une plate-forme (arrêt de bus) à la cité des 216 Logements, « confié à des artisans et non à des entrepreneurs », aurait coûté 545 millions de centimes.
« Quand on confie des projets à des artisans qui n’ont aucune expérience, c’est ça le résultat », se désole l’élu.
La réunion, tenue le 4 décembre 2005 entre le wali délégué de la circonscription administrative de Rouiba et les élus de l’APC de Réghaïa, n’a rien apporté de nouveau.
« Au cours de cette réunion, le wali délégué a confié des tâches à chaque élu afin de prendre en charge les préoccupations de la population locale.
Mais force est de constater que neuf mois après, rien n’a été fait et les citoyens continuent de protester au siège de la commune afin d’exposer leurs problèmes. »
La prolifération des cités-bidonvilles n’est pas en reste à Réghaïa.
Les baraques, nous dit-on, sont proposées entre 15 et 20 millions de centimes par une maffia locale qui profite de la détresse des habitants venus de l’intérieur du pays.
Cette prolifération a pris des proportions inquiétantes aux quatre coins de la ville.
Nadir Kerri
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=48614
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Commune de Réghaïa : Guerre de clans et projets en hibernation
04/02/2007 04:24
Avec pas moins de 120 000 habitants et une superficie de 29 000 km2, la commune de Réghaïa est sur des charbons ardents, selon les dires d’Ahmed Makhloufi, élu chargé des affaires sociales et culturelles. « Les préoccupations des citoyens n’intéressent personne au sein du conseil communal.
Même le wali délégué de la circonscription administrative de Rouiba ne s’y intéresse pas », ajoute notre interlocuteur.
Pour preuve, affirme-t-il, les projets d’intérêt général, à l’arrêt depuis 2002, sont relégués aux calendes grecques.
Cet élu, au centre d’une tentative de limogeage fomentée, d’après lui, par le wali délégué, énumère une multitude de projets en stand-by.
La salle omnisports, ayant ingurgité 1,5 milliard de centimes, est à l’arrêt depuis 2003.
La bibliothèque communale, qui a coûté 800 millions de centimes, est également abandonnée. Idem pour l’école Chebcheb ou bien les trois marchés de proximité qui sont à l’état de plateforme.
Ces marchés, financés à hauteur de 500 millions de centimes (par marché) par l’Apc et le même montant par la wilaya et qui devaient être réceptionnés en mars dernier, selon les recommandations du wali d’Alger, sont actuellement abandonnés.
Pis, ils sont transformés en décharge publique devant la paresse du staff communal.
Notre interlocuteur ira plus loin en attestant qu’une plateforme (arrêt de bus) à la cité des 216 Logements aurait coûté... 545 millions de centimes. « Les élus du peuple n’ont d’autre soucis que le retrait de confiance.
Et cela dure depuis juin 2003. Aucun élu n’a apporté aide et assistance aux sinistrés du seisme de mai 2003, alors que 627 personnes sont décédées et des milliers de familles sinistrées.
Au contraire, ils se sont réunis pour un retrait de confiance le 15 juin 2003 soit 13 jours après le tremblement de terre », atteste notre interlocuteur qui ajoute qu’il y a des élus qui veulent profiter de la fin de l’actuel mandant pour « dilapider les deniers publics et régler leurs affaires ».
A contresens des décisions du wali
Le wali délégué de la circonscription administrative de Rouiba vient d’aller à contresens d’une décision du wali d’Alger en sommant le P/Apc de Réghaïa de procéder à un changement au niveau du staff exécutif de l’assemblée communale.
Dans une correspondance n°885/2006 en date du 3 juin qu’il a adressée au premier magistrat de la commune, le wali délégué somme le maire de procéder au changement du staff sous motif que la délibération n°574 envoyée le 30 avril dernier a été approuvée par le DAL (directeur de l’administration locale) alors que ce dernier a, selon un document n°146/2006 en date du 17 mai dernier désapprouvé la délibération sous motif qu’il faut distinguer entre les procès-verbaux (PV) de réunions et les délibérations.
D’ailleurs, même le chef de cabinet du wali délégué est allé, dans sa lettre dans ce même sens, dans une lettre qu’il a adressée au P/Apc de Réghaïa sous le n°1498 en date du 23 mai 2006.
Le hic dans cette affaire, c’est que l’élu choisi pour occuper le poste de vice-président est actuellement poursuivi en justice pour... atteinte à la propriété d’autrui, délit réprimé par l’article 386 du code pénal. Des lots de terrain et des logements auraient été distribués par le mis en cause. Le procureur général de la cour de Boumerdès, qui a réclamé trois années fermes, avait introduit une cassation.
L’affaire a été reportée au 4 juillet prochain.
La loi 90/09 relative aux communes, principalement ses articles 32 et 33, stipulent qu’en cas de condamnation par la justice, l’élu est relevé de ses fonctions par le wali.
« J’ai demandé, à cinq reprises, une audience au wali délégué mais ce dernier refuse de me recevoir.Si j’ai commis des fautes de gestion qu’il me poursuive en justice. Mais il n’a aucun droit de me relever de mes fonctions », conclut Ahmed Makhloufi.
Toutes nos tentatives de joindre le wali délégué de Rouiba sont restées vaines. « Il est absent Monsieur », nous a répondu, hier, sa secrétaire.
Nadir Kerri
Source : http://www.elwatan.com/spip.php?page=article&id_article=45197
Commentaire de kanyvirus@hotmail.com (19/07/2007 01:19) :
yaw nchalah yakhadmouna hadi la sall de sporte parceque rahi chawhatana el
homa ou merci mon frér pr les photos bonn courage khou
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