L’information faisant état de l’agression dont des proches du NARBR se seraient rendus coupables sur la personne de Cherif El Ouazzani a fait sortir de leur réserve les dirigeants de Réghaïa qui jurent par tous les saints qu’ils n’ont rien à voir dans cette affaire.
Mesrour dira à ce propos : «Au moment des faits, nous étions dans les vestiaires en train de savourer notre victoire.
Il n’y avait, sur le terrain, que le service d’ordre, les joueurs et les dirigeants d’Arzew qui sont allés, paraît-il, en découdre avec le referee dès le coup de sifflet final.»
Pour rétablir la vérité, nous nous référerons à la déclaration du coach d‘Arzew qui nous dira qu’il a reçu un coup «prémédité ou non prémédité de la part d’un membre du service d’ordre dépassé par la situation.»
Source : http://www.lebuteur.com/stories.php?story=07/11/23/3868439